Un de ces italiens de génie,
Dino Buzzati... Bientôt cinquante ans qu'il m'emmène dans ses
nouvelles qui me rappellent, parfois, les étranges tableaux du Chirico en sa première période surréaliste.
Buzzati n'est plus depuis longtemps, mais
L'écroulement de la Baliverna et les autres récits offerts avec continuent de vivre quelque part dans ma mémoire.
comme des petits cailloux précieux qui tracent un chemin précieux.
On ne guérit pas, de
Dino Buzzati.
Commenter  J’apprécie         537