Perceval ou le conte du Graal

moi j'ai pas aimer ce livre je trouve qu'il était nul et en plus j'ai du le lire pendant les vacance.

p.82.
- Mon Dieu, pourquoi m'as-tu laissé la vie ? J'ai enduré les plus grands malheurs sans l'avoir mérité. Envoie-moi, Seigneur, quelqu'un qui m'arrache à cette souffrance, ou bien délivre-moi toi-même de celui qui m'afflige une telle honte. Je ne trouve en lui aucune pitié : je ne peux lui échapper, et pourtant il ne veut pas me tuer ! Il doit trouver plaisir à me tourmenter ainsi.

- Ce qu'on ne sait pas, on peut l'apprendre, si l'on veut s'en donner la peine. Mon cher ami, dans tous les métiers, il faut effort, courage et expérience. Ce sont les trois conditions pour acquérir n'importe quel savoir. Mais puisque tu ne l'as jamais fait ni vu faire par quiconque, il est normal que tu l'ignores : il n'y a aucune honte à cela.

-Je l'ai dit, en vérité, et je le redis encore.
-Eh bien, figurez-vous, mère, que j'ai vu aujourd'hui, dans la Forêt Déserte, les plus belles créatures qui soient, plus belles que Dieu et ses anges !

Le Chevalier Vermeil fut pris de colère et,du bois de sa lance, frappa le garçon en travers des épaules, le faisant tomber en avant sur le cou de son cheval.
Le jeune homme, furieux d'être ainsi atteint, saisit sont javelot et, visant du mieux qu'il pouvait, le lui lança dans l'oeil. L'arme pénétra dans le crâne à travers l'oeil jusqu'à la nuque. Le sang et la cervelle giclèrent et le chevalier tomba à terre, mort.

Ce qu' on ne sait pas, on peut l' appendre, si l' on veut s' en donner la peine.

Accordez-moi je vous prie un don [...] Mon cher hôte, ce que vous désirez, je le ferai donc, pourvu que je n'y aie de honte.

Il lui a fait une place sous la couverture, avec douceur, et plein d'attention. La jeune fille souffre ses baisers, je ne crois pas que cela lui déplaise.

Que voulez-vous la belle ?

Lorsque Nature est favorable et que l'on y met tout son coeur, rien ne peut être difficile.