La cité des songes, tome 1 : Une couronne de roses et de givre

C'est aujourd'hui qu'est sorti ce premier tome du nouveau dyptique de Georgia caldera. Et je vous le dis : ne passez pas à côté !

Si le début de ce tome 1 prend son temps pour se mettre en place, très vite, j'ai trouvé ce que j'adore dans la fantasy de cour : les trahisons, les secrets, les alliances, les liens qui se font, se défont. Mais je dirais que le point fort de ce tome 1, c'est le personnage principal masculin ou plutôt le fait qu'il est loin d'être parfait. Handicapé suite à un drame, il est renfermé sur lui-même et surtout, devenu la bête noire, même auprès de son père, le roi. J'ai adoré cette fêlure en lui, le rendant attachant dès les premières pages.

Bien sûr, la relation qui naît petit à petit entre lui et Auréa m'a aussi évidemment plu. Au début ils se détestent royalement (et on aime les persos qui se détestent) mais au fil des jours, des semaines, ils apprennent à se connaître et à vivre ensemble.

Au-delà de ces relations qui se font, l'Autrice a créé un univers vraiment intéressant. Partant de choses qu'on croise souvent en fantasy, elle en a créé quelque chose d'unique, qui intrigue et qui donne envie de pousser encore plus loin la découverte. À présent, je suis très pressée de découvrir le tome 2 et ce grand final. Je pense que nous ne sommes pas au bout de nos surprises !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

La princesse de la tour du Printemps a disparu la veille de son mariage arrangé avec le prince de la Tour de Givre, Rozarian. C'est ainsi qu'Auréa, Chasseresse Thaumaturge, se voit confier la mission de la remplacer pour protéger leurs relations avec la Tour de Givre. Elle doit maintenant apprendre à vivre aux côtés de ce prince antipathique et souffrant. Mais surtout, personne ne doit savoir qu'elle n'est pas la véritable princesse, ni qu'elle est Thaumaturge. Si le royaume est misogyne, il est aussi cruel avec les Thaumaturges qui sont traitées en esclaves dans la tour du Givre, là où elles sont tenues en haute estime à la Tour du Printemps.

Dans ce premier on voit donc évoluer la relation entre Auréa et Rozarian. Au départ, ils s'envoient des pics, avant de réussir à s'apprivoiser et s'apprécier. Auréa a à coeur de faire évoluer la place des femmes dans cette cour et, petit à petit, elle réussi à elbarquer Rozarian dans sa philosophie.

En parallèle, on apprend vaguement qu'une histoir, une prophétie lie ce duo avec une certaine Rin dont on sait peu de choses alors que le résumé de ce tome-ci est centré sur cette prophétie...

Si j'ai bien aimé ce premier tome dans l'ensemble grâce au duo princier et à la plume de l'auteure, j'ai été assez déçue par le peu d'action de ce tome. Un tome qui n'aborde quasiment pas le sujet central du résumé: La fameuse cité des songes.

Tout d'abord, j'ai adoré l'écriture de l'autrice. Ultra fluide, elle est l'indice d'un talent incroyable.
Pour ce qui est du personnage principal, nous suivons Auréa, jeune femme attachante, qui vit dans une société composée essentiellement de femmes. Elle se retrouve par la force des choses dans un monde d'hommes, au système patriarcal et archaïque et où les femmes sont reléguées au rang de plantes vertes procréatrices d'héritier. Bon, en somme, ce qu'il s'est passé dans notre histoire notamment à l'époque médiéval quoi (et c'est affligeant). L'autrice met en avant une société futuriste dans laquelle Auréa a grandi et évolué, qui est innovante sur pleins d'idées.
Bref, le décor est posé.
Ce qui est également appréciable, c'est Rozarian qui est à l'image d'un anti-hero. Il est caractériel, jaloux, impatient, en clair, il n'est pas le personnage principal qu'on a l'habitude de voir. J'ai trouvé ce point super.
L'histoire est bien ficelée, les événements s'enchaînent aisément sans forcément de temps mort.
L'héroïne est un peu trop loyale et trop gentille, mais pour les besoins de la narration cela reste cohérent, et c'est ce qui fait aussi son charme.
Tout au long de la lecture je n'arrivais pas à savoir comment ça allait évoluer, car même s'il n'y avait pas de gros suspens (dans le sens gros secrets, occasions manquées, retournements de situation), je ne savais où l'histoire allait être amenée. J'ai été surprise une ou deux fois mais surtout à la fin car le livre termine sur un final qui nous laisse dans l'expectative.
L'ambiance un peu "conte" m'a beaucoup plus aussi, et la présence de dragons est toujours une bonne nouvelle pour moi.
Le livre est un univers YA, aucun doute, car l'univers n'est pas très complexe (pas encore, du moins) et les héros sont jeunes (moins de 18 ans).
Je lirai le deuxième avec envie et impatience !

Un mariage forcé, pour créer une union de deux royaumes.

Vous me direz, chose habituelle, pas trop novatrice, des personnages et un univers qu'on voit beaucoup en Young adulte, et vous auriez raison.

Mais celui-ci fait son job, on embarque dans une aventure et des protagonistes certain qu'on rencontre souvent en Young adulte, mais qui m'ont beaucoup plus.

Donc pas de grande surprise, même, voir, les éléments prévisibles.

Mais malgré tout, je me suis laissé embarquer grâce aux joutes verbales des personnages et leur histoire.

La fin ne m'a donné qu'une envie, c'est de lire le tome 2 pour voir comment va être leurs finales.

Un très bon moment passé au côté de caractère que j'adore voir. Et un univers bien construit, certe peu détaillé, mais qui est appréciable.

La plume de Georgia Caldera est, pour moi, une valeur sûr et cette fois-ci n'a pas fait exception !

Grâce aux points de vue de plusieurs personnages, elle nous propulse dans un univers de fantasy atypique où les habitants vivent dans des tours gigantesques pour leur protection. Chacun de ces personnages va permettre de découvrir une facette de l'univers et nous permettre de tenter d'avoir un aperçu des enjeux. Ceux-ci semblent bien plus importants qu'ils n'y paraissent et donnent l'impression d'assister à une partie d'échecs grandeur nature.

En premier lieu, on rencontre Auréa dont j'ai admiré le courage et la détermination ! Chasseresse de la tour de Printemps, elle va devoir épouser (sous les traits de la princesse de son royaume qui a fugué) Rozarian le fils du roi de la Tour de Givre. Elle doit donc abandonner tout ce qu'elle connaît pour une vie à l'opposé de la sienne où le patriarcat est roi. C'est clairement le choc des cultures. Cet aspect de l'intrigue permet d'aborder le thème de la condition des femmes avec beaucoup de finesse !
Rozarian ne va l'aider à s'acclimater. Solitaire et taciturne, il est au départ très difficile à cerner. Il garde énormément de colère en lui (à raison parfois) et cela va donner lieu à des joutes verbales épiques avec Auréa. Cela apporte un certain dynamisme lors de leurs huis-clos tandis que leurs caractères diamétralement opposés vont les pousser à s'ouvrir à l'autre.

En bref, cette duologie a un potentiel fou ! Entre aventures et complots politiques, on ne s'ennuie pas une seule seconde avec ce 1er tome. D'ailleurs, certains éléments me font penser que nous ne sommes pas au bout de nos surprises alors vivement la suite !

Lien : https://fantasybooksaddict.b..

Des royaumes si différents et pourtant...


Auréa est une chasseresse de la Tour de Peintemps et elle ne rêve que d'une chose, pouvoir partir explorer le monde à dos de renard-feu.
Quand la Princesse Lyssaris disparaît, son ordre la rappelle et elle doit partir à sa recherche.
Mais elle reste introuvable et la Reine n'a d'autre choix que de demander à Auréa de prendre la place de sa fille, ayant des traits
similaires avec la Princesse.
Elle devra épouser le Prince Rozarian, héritier de la Tour de Givre.
Malheureusement pour elle, lors de leur rencontre elle va s'apercevoir que le jeune homme n'est que mystère, mauvaise foi et arrogance.
Sauront ils mettre de côté leur caractères de feu, pourront ils voir plus loin que cet arrangement futile, et déjoueront-ils les pièges qui
leur seront mis sur leur chemin.
Tant de questions pour si peu de réponses..


Un roman qui ne m'a pas réellement emballée plus que cela malgré un world building travaillé. Les Tours ont chacune leur histoire,
une politique et une culture de l'être humain qui diffère. Je n'ai, par co très, eu aucun mal à entrer dans l'histoire.
J'ai adoré la plume de l'autrice, celle-ci est tout de même addictive avec des soupçons de longueurs.
J'ai aimé l'intrigue même si elle m'a paru décousue au long de ma lecture. En effet, d'un côté nous avons une faille avec des créatures
qui sortent de nulle part et de l'autre une Reine qui veut faire tomber les Tours. Les Royaumes sont sous le joug d'une prophétie,
mais celle-ci ne nous est pas clairement dictée. En effet nous restons dans le flou le plus total.
Les PP ne sont pas des personnages forts, en effet ils subissent plus qu'ils n'entrent en action et malgré une fin où l'action commence à
arriver cela n'arrive pas à remonter le tout dans mon appréciation. Les seuls passages que j'ai adoré ont été ceux avec Rin qui eux sont
plus centrés sur l'action et sur certaines révélations que les passages avec Auréa. Malgré tout je retiens le système de magie qui est très
intéressant, et encore une fois, malgré le peu d'informations que nous ayons dessus. Je me doute du mystère qui entoure Rin et Auréa,
celui-ci est à confirmer dans la suite.
Quant à la fameuse Reine des damnés, j'ai adoré son côté sombre et brutal malgré les choix qu'elle fait. J'ai hâte de lire la suite pour
savoir si elle continue dans cette optique là où bien si quelqu'un va l'arrêter dans sa folie meurtrière.
La Prophétie, elle, nous parle de 4 personnes faisant le même rêve. Or ici nous n'avons que 2 personnages, hâte de voir qui serons les 2
autres et surtout quel est leur lien. Ont ils un lien de parenté ou bien viennent ils d'un seul et même peuple et qu'ils aient été séparés
à la naissance. Tant de questions et si peu de réponses.


En bref, un premier tome pour lequel j'ai eu du mal car celui-ci est prévisible mais dont le WB est plus qu'intéressant.

J'ai beaucoup aimé cette 1ère lecture de Georgia Caldera : j'étais prise dans l'histoire et j'ai adoré les 3 personnages, en particulier la relation entre Auréa et Rozarian et le courage de Rinn.
La Terre a connu de nombreux cataclysmes et des abîmes qui se sont ouverts, ont émergé des créatures ailées gigantesques et féroces. Les humains se sont réfugiés dans 12 immenses tours, des reinaumes, gouvernées par des reines sauf la Tour de Givre où règne encore un roi. Auréa est une thaumaturge qui a le pouvoir de manipuler les éléments notamment grâce à une gemme en améthyste plantée près de son coeur. Mais la voici obligée de remplacer la princesse de la Tour du Printemps qui s'est enfuie alors qu'elle devait épouser le prince Rozarian de la Tour du Givre. Cette alliance est capitale pour les deux partis et voici Auréa entraînée vers une cité qui méprise les femmes voire plus. Nous suivons aussi Rinn, de la Tour des Damnés, cité construite près du plus grand abîme sous lequel un monstre énorme déchaîne des séismes dans tout le royaume. Cité qui a d'abord servi de prison pour les criminels avant qu'on y envoie aussi les malades. Les oubliés et pestiférés d'autrefois, portant sur eux des traces de malformations, sont désormais réunis sous la bannière d'une princesse qui commence à s'emparer des autres cités, Rinn étant une de ses plus grandes guerrières. Il y a un contraste saisissant entre certaines cités où tout est beau, vivant et plein de ressources et cette cité de laissés pour compte qui n'ont plus rien à perdre. le rapport entre ces 3 personnages ? Ils rêvent tous de la légendaire Cité des Songes, là où vivent des dragons bienfaisants et où ils seront en paix. Reste le mystère du 4ème personnage du songe dont on ignore tout. J'aurais aimé voir davantage Rinn mais cela reste un 1er tome et la relation qui tend vers un ennemies to lovers entre Auréa et Rozarian est très addictive. le rythme, les mystères, les sentiments contrariés, les batailles, le traitement des femmes et la noirceur de certains passages en font un roman très prenant d'autant que la fin qui se termine en cliffangher nous fait désirer ardemment la suite !
Lien : https://www.facebook.com/sea..

En commençant ma lecture, j'étais bien loin de m'imaginer que je prenais en main un presque coup de coeur !
J'ai tout bonnement adoré l'univers et les personnages créés par l'autrice ainsi que les créatures hybrides toutes plus intrigantes et attachantes les unes que les autres (Je veux un pandermine, c'est non négociable)
Le côté romantique maintenant classique du slow burn ennemies to lovers a su charmer mon petit coeur de pierre et exigeant avec Aurea et Rozarian, mon nouveau couple -ou presque- favori. Étant la clef de voûte du roman, il était impératif d'avoir une alchimie entre les personnages et c'est clairement le cas.
Si je dis presque coup de coeur, c'est surtout ma petite frustration qui parle, de ne pas en savoir plus sur cette fameuse Cité des Songes et la destinée qui lie les 3 personnages principaux que nous côtoyons dans ce tome 1. (Mais qui est donc cette 4ème personne ???) Et cette fin en cliffhanger m'a fait couiner très fort, j'avoue. 🥹

À quand la suite ???

En bref, un univers épique avec des DRAGONS, des personnages forts et intéressants et une intrigue captivante qui me tarde d'approfondir !

Le nouveau roman de Georgia Caldera nous emmène dans un monde fantastique, plein de magie, de créatures dites indomptables et meurtrières (comme les Wyrms et les Vyvernes) où les femmes peuvent être dotées de pouvoirs fabuleux et les hommes de simples défenseurs de royaumes.
Auréa est une chasseresse de créatures des Abymes qui va être mêlée malgré elle à un complot politique qui va remettre en question toute son existence et ses croyances.
Ce premier tome est dynamique, captivant et l'écriture de Georgia Caldera est toujours aussi agréable.