Je vous propose de suivre la technique transmise par mon grand-père Raoul, magnétiseur et coupeur de feu. Il m'a confié le rituel qui suit et je l'en remercie chaleureusement. Et rappelez-vous, comme pour les autres protocoles, seul le pouvoir de l'intention, compte.
............................Protocole 21........................
...........................Éteindre le feu......................
1. Murmurez ou, si vous le souhaitez, dites à voix haute ces mots : "À la fontaine de Saint-Mathieu, il y avait trois brigands qui voulaient brûler le bon Dieu. Saint Mathieu leur dît, ne brûlez pas le bon Dieu, brûlez-moi à sa place. Il se mit sur la bouche du four et le feu s'éteignit."
2. Soufflez de l'air froid ( avec les lèvres serrées et la bouche en "cul-de-poule", sinon l'air est chaud) sur la brûlure en formant un signe de croix avec votre expiration. Si vous pratiquez à distance, soufflez l'air froid en mettant l'intention que vous agissez sur la brûlure de la personne en question.
3. Répétez l'ensemble (parole et souffle) trois fois.
Pierre Yonas, guérisseur, a accepté de me faire part de celui qu'il utilise et je l'en remercie. Encore une fois, prononcez-le avec la certitude que vous allez y arriver, c'est-à-dire, avec "la foi en soi" : " Feu, je te stoppe, tu n'as plus lieu d'être dans le corps de .......... Le mal se désinstalle et le bien s'installe."
Le jour où vous devez couper le feu d'un tiers, choisissez le protocole qui vous parle le plus. Vous verrez, cela fonctionne. J'ai reçu quantité de témoignages qui attestent de son efficacité.
- Chapitre 20 - Agir sur les brûlures - p. 230 -
Tout est impacté par ce que vous générez par vos pensées.
A ce propos, un maître bouddhiste coréen, le vénérable Seongnam m'a donné une image très explicite de la manière dont agissent nos pensées, nos actes et nos paroles. Pour se représenter ce processus à l'œuvre, positionnez votre main comme si vous tiriez avec un revolver, l'index tendu droit devant, le pouce vers le haut et les trois autres doigts repliés vers vous.
L'index représente votre pensée et vos actes. Le pouce tendu vers le haut est ce que produit l'univers en renforçant vos pensées ou vos actes. Les trois autres doigts correspondent à ce qui vous revient. Ce que l'on pense ou ce que l'on fait ... est renforcé par l'univers ...et cela vous revient trois fois. Si vous critiquez une personne, plusieurs personnes vont vous critiquer. Si vous volez quelqu'un, vous allez perdre beaucoup par ailleurs. De la même manière, si vous faites preuve de générosité, vous allez beaucoup recevoir.
-chapitre 17 - Se protéger - protégez-vous de vous-même - p. 209 -
Protocole 4 -Renforcer l'intention -
Vous pouvez facilement renforcer l'intention et atténuer ainsi vos douleurs. Le principe est inspiré d'une pratique chamanique :
1. Prenez une grande inspiration par le nez et imaginez que l'expiration sorte a l'endroit de la douleur, comme si l'air passait par la partie en souffrance et la nettoyait.
2. Faites cet exercice au moins dix fois de suite, en vous concentrant sur la visualisation et le souffle, et n'hésitez pas à recommencer tant que la douleur n'a pas disparu. Vous verrez cela fonctionne !
3. Vous pouvez également utiliser une autre technique chamanique : pensez à une espèce animale que vous aimez. Un lion, un éléphant, un tigre, un aigle, un loup, un écureuil... Imaginez que cet animal prenne la taille d'un atome. Tenez-le entre vos doigts et glissez-le dans votre bouche. Amenez-le mentalement à l'endroit de votre douleur, puis imaginez ce qu'il pourrait faire pour vous aider : il lèche l'endroit pour enlever l'inflammation, il soulage les muscles froissés, recoud des déchirure, tient chaud à votre gorge... Il est votre allié et reste à l'intérieur de vous tant que nécessaire. Pensez à le remercier.
-Chapitre 7- L'auto-guérison - p.81 -
Et si nous avions perdu le réflexe de nous fier à notre corps ? Pourquoi ne sommes-nous plus attentifs aux informations qu'il nous envoie ? Depuis notre naissance, on nous a appris à percevoir la douleur comme un signe de faiblesse. Nous sommes persuadés qu'il n'est pas légitime qu'elle s'exprime. Nous créons donc une dissonance cognitive entre nos ressentis et notre manière d'appréhender le problème. Autrement dit, nous sommes devenus aveugles et sourds aux messages d'alerte que nous envoie notre corps. Un peu comme si notre téléphone sonnait et que nous coupions la communication sans même savoir qui souhaite nous joindre. La maladie ne serait-elle pas un message que notre corps a du mal-à-dire ?
- Chap 3 - Comprendre le sens de la maladie - p.43 -
Vous allez vous libérer de vos émotions douloureuses et vous reconnecter à votre force intérieure, la clé de votre énergie.
On ne transforme plus les liens de souffrance, on les coupe. On ne choisit pas l'amour comme finalité mais la paix.
Un jour on y arrive. Chaque chose en son temps.
Comment cesser de se sentir injustement traité?
D'abord en prenant conscience de l'injustice que l'on se fait à soi-même. Comme passer son temps à rechercher l'excellence dans tous les domaines de notre vie au détriment de notre santé ou du temps passé avec nos proches. Commençons par ouvrir les yeux sur notre sensibilité et nos plaisirs pour éviter un burn-out. Faisons attention à ne pas oublier injustement ceux qui nous ont aidés et à l'impact de chacune de nos prises de décision.
A qui devons nous pardonner en priorité? Les premières personnes sont nos parents puisque notre âme les a choisis avant de s incarner.
A qui devons-nous pardonner en priorité ? Les premières personnes sont nos parents puisque notre âme les a choisis avant de s'incarner. Il existe de très nombreuses familles où un parent a abusé de son enfant, où sa méchanceté, sa violence ou son emprise ont créé des traumatismes. La déflagration intérieure et mentale est parfois trop importante pour envisager un pardon, et encore moins un remerciement. Et pourtant, sans pardon, nous nous coupons de ce que notre âme est venue chercher dans cette vie : guérir de nos épreuves. Ne culpabilisons pas, nous y arriverons un jour. En éloignant nos souffrances, nous allons prendre du recul, et petit à petit, nos pas nous guideront vers la finalité : ce pardon envers nous-mêmes et envers les autres qui est le garant de notre sérénité.