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Critique de karkarot
Le sorcier est la luciole, ce sont bien sûr Christine Campadieu, l'autrice, et Jim Harrison l'écrivain et poète. Cette dernière raconte, huit ans après la mort du géant des lettres américain, leur relation, amicale, littéraire, gastronomique, voyageuse qui dura plus de 10 ans.
Christine Campadieu n'est pas une écrivaine, du moins elle ne s'en donne pas le titre et n'en recherche pas les effets. Elle narre, simplement, ce qui advint. Et cela suffit largement, vu la très forte personnalité du Jim Harrison et les anecdotes croustillantes racontées. Pas besoin d'effets de manche, le seul bonhomme amène avec lui assez de truculence, de joie de vivre, de passion et de colère et de tristesse pour combler les lecteurs.
Dans ce livre on rigole donc, on découvre le grand bonhomme de l'intérieur mais sans ragotages ni cancans, par sa face tendre, familiale, sensible, mangeuse et buveuse aussi évidemment ; on découvre des vins, des lieux, des villes, des poètes, et des recettes !
C'est vivant, beau, ça donne envie de lire Jim et de manger de la bonne chère en buvant bien !
Christine Campadieu n'est pas une écrivaine, du moins elle ne s'en donne pas le titre et n'en recherche pas les effets. Elle narre, simplement, ce qui advint. Et cela suffit largement, vu la très forte personnalité du Jim Harrison et les anecdotes croustillantes racontées. Pas besoin d'effets de manche, le seul bonhomme amène avec lui assez de truculence, de joie de vivre, de passion et de colère et de tristesse pour combler les lecteurs.
Dans ce livre on rigole donc, on découvre le grand bonhomme de l'intérieur mais sans ragotages ni cancans, par sa face tendre, familiale, sensible, mangeuse et buveuse aussi évidemment ; on découvre des vins, des lieux, des villes, des poètes, et des recettes !
C'est vivant, beau, ça donne envie de lire Jim et de manger de la bonne chère en buvant bien !
