Lecture difficile et exigeante. Je ne reviendrai pas sur le sujet, et ses deux niveaux de lecture car tout a été dit. On retrouve le ton froid, distant et méthodique de l'auteur, son analyse des hommes, de la société, de la religion... Mais là où "
L'étranger" brillait par sa concision, "
La peste" s'empêtre dans des descriptifs interminables et des démonstrations de style particulièrement lourdes. Je n'ai pas adhéré.
Commenter  J’apprécie         70