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EAN : 9782956961604
232 pages
AFNIL (11/11/2019)
4.57/5   15 notes
Résumé :
Jeune quadra surmenée un brin idéaliste, Alice pensait qu’il ne lui manquait plus qu’un chien pour incarner une famille au complet. C’était sans imaginer qu’Asko, la boule de poils traumatisée par son passé, allait enchaîner les fi-askos! D’une rencontre coup de foudre au refuge canin aux journées cauchemardesques à la maison, cette histoire vraie décrit avec humour un chemin initiatique sans fard ni tabou, désopilant et émouvant, où chacun prend le temps de s’appri... >Voir plus
Que lire après Journal d'une adoption au poil... ou presqueVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Merci infiniment à Caroline Canac de m'avoir fait confiance en m'envoyant son "bébé", ce livre qu'on peut qualifier d'autobiographique puisqu'il relate sa propre aventure, vécue lors de l'adoption de son chien Asko.

Et on constate très vite qu'adopter un animal est tout sauf facile, il ne s'agit pas là d'acheter un meuble ou un bien de consommation quelconque ! Alice, l'alter ego de Caroline dans le roman, pensait avoir mûrement réfléchi cet acte, et être tout-à-fait prête à accueillir un petit compagnon, d'autant plus que la famille comptait déjà deux chats (Wifi et Pixel), et qu'elle avait listé tous les critères du toutou idéal. Seulement voilà : Alice a peur des chiens, c'est pour faire plaisir à sa fille qui lui en demande un depuis 5 ans qu'elle a cédé, contre l'avis de son mari. Et comble de l'ironie, elle va craquer pour Asko...qui a peur des humains, nous comprendrons par la suite qu'il a d'excellentes raisons pour cela. Et cerise sur le gâteau, il ne remplit aucun des critères fixés : il perd ses poils, n'est absolument pas sociable, aboie la nuit, fait ses besoins n'importe où (et mange les crottes des chats), et ne rapporte même pas la balle ! Bref, un vrai "Fi-Asko" !
Les premiers temps vont être un enfer non seulement pour Alice, qui ne se sent pas à la hauteur et est même parfois tentée de renoncer à cette adoption pas vraiment réussie, mais aussi pour Asko, qui s'exprime dans quelques chapitres et nous raconte son mal-être et ses craintes d'être maltraité. J'ai beaucoup apprécié ce procédé d'écriture, cela rend le roman plus vivant et le point de vue du chien est très bien rendu.

Je ne vous raconte pas comment tout ceci va se terminer, pour cela il vous faudra découvrir ce "Journal" par vous-même. Il vous touchera certainement comme il m'a émue, surtout si vous avez déjà vous-même fait l'expérience d'adopter un compagnon à quatre pattes, qu'il soit canin ou félin.
Personnellement je n'ai pas été confrontée à ce type de difficultés avec mes chats, mais ma maman se débat actuellement avec son Jack Russel qui a un peu plus d'un an, qu'elle a adopté tout petit et qui déborde d'énergie impossible à canaliser par une dame de presque 80 ans à la santé fragile. Et pourtant, nous lui avions tous recommandé de prendre un chien déjà éduqué, tranquille et pas trop jeune, y compris à la SPA où elle a fait quelques "rencontres". Mais voilà, le coup de foudre, ça ne se commande pas...
Je vais lui offrir ce livre qui fera sans doute écho à sa propre expérience et lui donnera j'espère l'impulsion pour se faire aider par un éducateur canin.

A noter : à la fin de l'histoire on peut lire des témoignages de lecteurs, mais aussi une bibliographie et dix questions à se poser avant d'adopter, conseils prodigués par Céline Ravenet, auteur du livre "N'abandonnez jamais !
30 ans d'histoires vraies à la SPA"

Mon tout petit bémol : il reste quelques coquilles non corrigées, mais à part ce léger souci, j'ai été séduite par ce témoignage empreint d'humour et de lucidité !
J'en profite pour souhaiter une excellente année à l'auteure et à toute sa tribu.
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Je remercie chaleureusement Caroline Canac pour l'envoi, en service presse, de son premier roman : Journal d'une adoption au poil.. ou presque.
Jeune quadra surmenée un brin idéaliste, Alice pensait qu'il ne lui manquait plus qu'un chien pour incarner une famille au complet.
C'était sans imaginer qu'Asko, la boule de poils traumatisée par son passé, allait enchaîner les fi-askos !
Journal d'une adoption au poil.. ou presque est un roman inspiré par la propre histoire de l'adoption d'Asko par l'autrice.
Nous suivons son idée d'adopter un chien pour faire plaisir à sa fille.. sans tenir compte du non de son mari et du manque d'enthousiasme de leur fils.
Alice est têtue, elle fonce et a un coup de foudre pour Asko et son allure de renard. Il est trop mimi, ce sera celui-ci.
Alice est têtue, donc.. et elle ne veut pas voir que son chien ne sera pas comme elle l'imagine.
Elle n'écoute pas qu'il a un passé traumatisant et que ce ne sera pas le chien idéal comme elle l'idéalise: qui ne perd pas ses poils, qui ramène la balle, qui n'aboie pas, qui.. qui..
Elle l'idéalise tellement, son chien idéal, qu'elle ne se rend pas compte que c'est n'importe quoi !
L'ancienne propriétaire de chien que je suis à souvent bondit face aux exigences d'Alice.
Un chien n'est pas une peluche mais un animal qui a un coeur, des envies, des besoins et surtout, son propre caractère ! Sans compter, dans le cas d'Asko, un passé très lourd alors qu'il a seulement une petite année.
Evidemment, c'est caricatural et c'est d'ailleurs ce qui permet à ce roman de fonctionner parfaitement.
J'ai souvent levé les yeux aux ciel devant le manque d'expérience d'Alice ; par rapport au fait qu'elle n'a pas toujours la tête sur les épaules face à cette adoption.
Non mais quel boulet par moment lol Malgré tout, je l'ai bien aimé cette Alice qui fait ce qu'elle peut pour tout concilier.
J'ai souvent souri car certains passages sont très drôles.
C'est un roman humoristique qui relate la difficulté pour un primo adoptant à s'adapter à un animal quand il n'a aucune expérience ; et en tête un animal rêvé qui évidemment ne peut pas correspondre à la réalité.
L'autrice nous décrit un chemin initiatique sans fard ni tabou, désopilant et émouvant, où chacun prend le temps de s'apprivoiser et s'adapter.
Il y a énormément de bons conseils sur l'adoption d'un animal, sur la différence de caractère entre un chien et un chat.
Des illustrations de Marie-Anne Abesdris sont présentes tout au long du roman ; elles sont très drôles et apportent un vrai plus.
A la fin, 10 questions à se poser avant d'adopter Médor ou Félix pour une adoption réussie. Ce petit dossier est conçu par une professionnelle, Céline Ravenet, responsable d'un refuge.
Petite précision : Pour chaque vente de ce livre, un euro sera reversé à des associations indépendantes de protection animale.
Journal d'une adoption au poil.. ou presque est un très bon roman, que je vous recommande avec plaisir.
Ma note : un énorme cinq étoiles.

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J'ai reçu ce livre en Service Presse de l'autrice Caroline Canac qui ne manque ni de verve, ni d'humour. Capable de se moquer d'elle-même à propos de ses erreurs ou ses égarements dans la construction d'un "adulte responsable adoptant un chien pour le bonheur de sa fille" ... tout un programme! Désireuse de maîtriser la stature d'un bon maître-chien, elle ne quitte jamais la position fondamentale de ce qui s'apparenterait à une chercheuse es bien-être canin!
L'histoire est drôle, le chien assez typé pour obliger sa maîtresse de rire d'elle-même pour survivre aux inévitables déconvenues d'une adoption en mode nouveau pour elle. Même long, le cheminement du seul à éduquer, à savoir le Maître, est toujours respectueux du respect de l'animal et tout le bouquin respire à la fois l'incitation à adopter ces braves bêtes qui seront les premières à rendre heureux l'adoptant et, en même temps, une sérieuse mise en garde pour ceux qui pensent, un peu vite, que ces nouveaux jouets ont des modes d'emploi simples, standardisés et peu contraignants.
Amusant mais aussi utile, ce livre permet d'amorcer une réflexion utile avant d'adopte, ou pas, un compagnon à poils et quatre pattes.
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Alice est mariée, a deux enfants et deux chats. Sa fille, Héloïse, âgée de dix ans, désire avoir un chien. La mère de famille surmenée accède à la demande de son enfant… au bout de cinq ans. Hélas, cette adoption n'est pas préparée. Alice a peur des chiens, elle a des idées préconçues sur le chien idéal et Marc, son époux, n'adhère pas à ce projet. Elle visite plusieurs refuges et a le coup de foudre pour Asko, un malheureux qui, avant d'être recueilli, n'a connu que le pire de l'humain.


Les critères d'Alice sont très restrictifs : elle veut un chien qui ne perd pas de poils, qui ramène la balle, qui n'aboie pas, qui fait toujours ses besoins au même endroit, qui ne fait pas de dégâts, qui ne lèche pas, etc. Asko, quant à lui, use de son stratagème anti-adoption : « ne pas bouger, ne pas lécher, ne pas être joyeux » (p. 35), montrer de l'angoisse, etc. Ses copains de chenil et lui ont déjà testé cette méthode infaillible, hélas, il ne fonctionne pas sur « la rousse ». Journal d'une adoption au poil… ou presque est, en réalité, « le Journal de Bridget-Dog » (p. 19).


Le coup de coeur d'Alice pour Asko se transforme en cauchemar. C'est un « Fi-asko ». Celui qu'elle appelle son petit renard ne correspond pas à ses attentes et perturbe son quotidien. Les hurlements des premières nuits, le casse-tête des vacances, les peurs du petit bonhomme, l'énervement face à l'aspirateur à crottes, Alice n'en peut plus et ne cache ni son exaspération, ni son désarroi. Ses réactions sont, parfois, surprenantes, décalées, voire inappropriées, pourtant, nous ne lui en voulons pas, car elle se remet en cause. Elle consulte des professionnels, elle demande de l'aide et elle réfléchit aux solutions possibles. Elle est touchante, car elle ne prend pas de décision hâtive, sans envisager les conséquences pour Asko. C'est ainsi qu'ils pourront se comprendre.


Asko intervient dans l'histoire et ses pensées sont bouleversantes. Ce petit bout a connu le malheur et il est désappointé par le fonctionnement de sa nouvelle famille. Certains de ses désirs m'ont énormément émue. J'avais envie de le rassurer et de communiquer sa peine à Alice, afin qu'elle agisse différemment.


Si vous avez des animaux, ce livre risque de vous rappeler des souvenirs et si vous envisagez d'en adopter, il vous avertira de ce qui vous attend. J'ai, évidemment, pensé à mon petit Valmy, qui souffrait d'anxiété de séparation et qui a détruit une grande partie de notre maison. J'ai comparé la relation d'Alice et Asko à celle que j'ai connue avec Poupie, au début. En effet, Poupie, me mordait, me griffait, m'attaquait, pourtant, j'étais celle avec qui elle était la plus câline. Dès que j'étais seule avec elle, elle grimpait sur la télévision pour la faire tomber (encore maintenant, je n'ouvre pas les portes du meuble, si elle ne dort pas et que je suis seule dans la pièce).


Comme Alice, je cherchais des explications à son comportement et je tentais de la comprendre. J'avais bien spécifié que je voulais un chat qui ne sortait pas ; je ne voulais pas qu'il soit malheureux chez moi. Un an après son adoption, j'ai appris que, quand elle n'avait pas deux mois, elle faisait le tour du village avec sa mère. Aussi, malgré ma peur, j'ai accepté de la laisser se promener. Grâce aux conseils de Livrement Ka, je l'ai équipée d'un GPS.


Poupie est en liberté surveillée. Dès qu'elle approche de la route, je vais la chercher. Depuis, ce n'est plus le même chat : la tendresse a remplacé les griffures. Quant à Voyou et Bébé, les seuls que j'avais adoptés en refuge, l'adaptation avait été immédiate. Évidemment, quand on accueille un animal, on vérifie que l'on peut s'en occuper, mais nous ne savons pas toujours ce qui nous attend. N'est-ce pas Alice ?


Caroline Canac décrit les catastrophes qui découlent de la mauvaise interprétation des besoins de nos animaux. Bien que le message passe, le ton utilisé provoque des éclats de rire. La narratrice utilise des images désopilantes pour relater ses galères et le fonctionnement de son cerveau. le récit est humoristique, l'attendrissement et l'amusement sont entremêlés. Malgré sa naïveté, Alice est touchante et Asko est émouvant. Je ne vous cache pas que ce roman donne envie d'offrir sa chance à un compagnon à quatre pattes, aussi, j'ai aimé que Caroline Canac rappelle que cela doit être une décision réfléchie et familiale et que les animaux sont des êtres sensibles. J'ai aussi apprécié, qu'à la fin du roman, Céline Ravenet, « responsable du Refuge d'Hermeray, pendant plus de 15 ans et 33 ans d'expérience professionnelle dans les refuges » (p. 214) indique les éléments importants à considérer avant une adoption.


J'ai adoré Journal d'une adoption au poil… ou presque !


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Honnêtement, si je n'avais pas déjà trois chats à la maison… Ce livre, via des phrases percutantes et une mise en situation plus que réelle, nous plonge dans l'univers de l'adoption. Oui oui, l'adoption. On ne parlera pas ici d'aller acheter un animal dans une boutique quelconque, ni de trouver un chiot dans un élevage, mais bel et bien un geste sincère et « mûrement » réfléchi d'aller dans un refuge.

Vous allez me dire « qu'est-ce qu'elle a de passionnant, cette histoire » ? En fait, elle sonne juste, elle sonne vrai, et ça fait du bien. L'espace d'une lecture, je me suis sentie accompagnée alors que, plus jeune, j'avais adopté un chien envers et contre tous. Un chien qui avait été battu, dont personne ne voulait, et qui avait un penchant pour les morsures intempestives. Vous n'imaginez pas comme je me suis reflétée à travers ses lignes, à travers ses mots qui résonnent. Bref, je me suis plongée dans un passé qui reste tellement présent…

Vous l'aurez compris, la protection animale, c'est mon dada, et aller chercher une bête dans un refuge afin de lui donner de l'amour pour le recevoir au centuple, ce n'est que du bonheur !

Que du bonheur, oui, MAIS !

Mais voilà, c'est aussi un parcours du combattant, qu'on ne prévoit pas forcément. Un parcours long, parfois pénible malgré tous ses bons côtés. Un parcours bercé de plaisirs, mais aussi de doutes, de questionnements divers, et parfois de conflits. Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? OUI ! Et c'est en ce sens que j'ai littéralement adoré ce livre. Caroline Canac retranscrit tout ça. Partant de l'impatience à la patience, en passant par la mise en place de règles, par les enfants qui sont super motivés, mais qui le sont moins quand il s'agit de s'occuper de l'animal. Bref, tout y passe, mais avec une prise de recul et une bienveillance qui font chaud au coeur.

Ce n'est pas bien compliqué, tout le long du livre, nous suivons Alice. Cette femme à qui rien ne semblait manquer : deux enfants, un mari, une maison, des chats… se met en tête, et ce pour plusieurs raisons, d'adopter un chien. Mais voilà, les a-prioris, les quiproquos, les attentes des Hommes… Caroline Canac nous montre à quel point ce que l'on croit savoir est erroné. Tout fait sens dans l'écrit. de la relation entre les membres d'un foyer, quand un tel bouleversement arrive, à nos envies qui changent alors que nos croyances s'effondrent. Ce qui peut paraître simple et naturel est au final une irruption ininterrompue de petits changements, pas tous très pratiques.
De fait, l'écriture, parce que c'est important aussi

Là aussi, ça fait mouche ! le fond est touchant et résonne, mais la forme est juste très bien pensée ! Pourquoi ? Parce que quoi de plus personnel qu'un journal ? Quoi de plus touchant que les confessions parfois drôles et d'autres fois émouvantes d'une femme qui se laisse dépasser par quelque chose qu'elle avait sous-estimé ? Il est tellement difficile de ne pas s'identifier…

En plus de cela, elle est aussi est cocasse. Il faut dire que l'autrice a pensé à tout : nous faire un étalage des pensées de sa narratrice, mais aussi une personnification très intéressante. Elle a su mettre des mots là où on ne les attendait pas, et ça, c'est top !

Si vous avez des bêtes, vous avez certainement pris le temps de vous imaginer ce qu'elles penseraient ou ce qu'elles vous répondraient, ou encore leurs visions des choses… Bah tout ça, vous l'avez dans l'ouvrage. Sans tomber dans la parodie, Caroline Canac réussit la passation de narration humaine / animale avec brio.
En résumé ?

Pour ceux qui n'ont pas compris, j'ai adoré, vraiment. Un mélange d'éthique, de confession, de questionnements… Entre philosophie et théâtre de boulevard, on a ici un travail d'introspection vraiment sympa qui relate toutes les étapes à franchir lors d'une adoption un peu particulière, au poil !

Vacillant toujours entre humour et angoisse contenue, l'autrice nous met entre les mains un vrai petit bijou. Drôle et émouvant, un moment de lecture dans lequel on peut s'abandonner sans aucune contrainte !

J'ai beaucoup apprécié l'univers, le fond et la forme décalée. Moi qui ne suis pas habituée à ce type de lecture, je reprendrais un petit coaching avec grand plaisir : une bouffée d'air ! En revanche, comme je le disais, si je n'avais pas déjà trois chats à la maison… quoique… attendez… peut-être bien que j'aurai un chien !

Un grand merci à Caroline Canac de m'avoir permis de découvrir son univers. Si la cause animale vous touche, si vous avez des envies d'adoption, pensez à ce journal d'une adoption au poil… ou presque. S'il n'est pas un guide vétérinaire, il vous plongera dans le bain de ce sur quoi vous pourriez tomber : un nid douillet de tendresse sur une route cahoteuse !

En plus, et oui, ce n'est pas négligeable, l'achat du livre fait gagner des sous aux refuges… Que demander de plus ? Bref, je ne vous en dis pas plus et vous laisse feuilleter ce petit bijou amusant et débordant de sincérité !
Lien : https://www.jetdemots.com/20..
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