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Critique de Folfaerie
Encore une publication originale des éditions super 8 mais que, malheureusement, j'ai modérément appréciée. C'était pourtant bien parti, une paire de héros singuliers, A. et Niamh, mais attachants, l'arrivée d'un chien baptisé Au secours, un mystère entourant une demeure pour le moins originale, (plus ou moins hantée et en tout cas qui porte la poisse) et le récit sous forme lettres, extraits de journaux intimes, enregistrements et autres supports, autant d'éléments susceptibles de me plaire.
L'idée d'une société secrète dont les agissements donnent le vertige était excellente, de même que la quête-enquête (le suspect serait-il un fantôme ?) menée par A. pour résoudre cette énigme m'a passionnée jusqu'aux deux-tiers du roman environ.
Mais doucement, l'histoire se complique inutilement, donne lieu à quelques invraisemblances (si on peut parler ainsi pour un récit aussi déjanté !), s'embourbe dans des explications pseudo-scientifiques. L'ennui pointe alors le bout de son nez. Et la pirouette finale, précédée d'un événement tragique, tombe comme un cheveu sur la soupe et parait d'ailleurs bien incongrue, mettant à mal la bonne impression générale que j'avais conservée durant ma lecture. La fin n'est pas digne du roman, elle dénote peut-être une maladresse de l'auteur, mais en tout cas, elle gâche la fête !
L'idée d'une société secrète dont les agissements donnent le vertige était excellente, de même que la quête-enquête (le suspect serait-il un fantôme ?) menée par A. pour résoudre cette énigme m'a passionnée jusqu'aux deux-tiers du roman environ.
Mais doucement, l'histoire se complique inutilement, donne lieu à quelques invraisemblances (si on peut parler ainsi pour un récit aussi déjanté !), s'embourbe dans des explications pseudo-scientifiques. L'ennui pointe alors le bout de son nez. Et la pirouette finale, précédée d'un événement tragique, tombe comme un cheveu sur la soupe et parait d'ailleurs bien incongrue, mettant à mal la bonne impression générale que j'avais conservée durant ma lecture. La fin n'est pas digne du roman, elle dénote peut-être une maladresse de l'auteur, mais en tout cas, elle gâche la fête !
