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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ah, cette chère Alexia. C'est toujours un réel plaisir de suivre ses aventures. Je ne me lasse pas du tout de l'univers de Gail Carriger qui a su encore une fois me charmer avec ce tome trois qui se détache un peu des deux tomes précédents, mais qui garde tous les éléments que j'adore dans le Protectorat de l'ombrelle. En le finissant d'ailleurs, je n'ai eu qu'une envie : continuer avec le tome quatre (ce que je suis en train de faire, d'ailleurs), notamment pour savoir ce qu'il va advenir d'Alexia et de son désagrément embryonnaire.

La fin du tome deux nous avait laissé avec une Alexia assez désemparée et déboussolée. Il était assez difficile de la voir comme cela, mais connaissant notre héroïne, il était clair que cet état n'allait pas durer très longtemps. Et c'est avec plaisir que la mordante lady Maccon reprend du poil de la bête et décide malgré les dangers de partir à la recherche de la vérité concernant son état, la cause de tous ses soucis. Dès les premières pages, nous nous doutons que l'action va être prépondérante et que l'on ne va pas s'ennuyer. Les vampires sont décidés à éliminer Alexia, d'une part, et d'autre part, notre chère comtesse veut partir en Italie pour rencontrer les Templiers (de grands fanatiques religieux qui luttent contre le surnaturel). Aventures, actions et palpitations garanties. Du coup, on ne s'ennuie pas du tout une seule seconde.

Mise à part le départ d'Alexia de Londres, le grand changement dont je faisais allusion plus haut et que nous voyons deux "histoires" se dérouler en parallèle. Lyall, resté à Londres, a lui aussi une enquête à mener et un Alpha malheureux à gérer. Et j'ai vraiment apprécié de voir ces deux intrigues se dérouler en parallèle l'une de l'autre. Lyall prend de plus en plus d'ampleur au fil des tomes. Et outre le fait que c'est un personnage que j'aime beaucoup et cela depuis le début, je trouve que l'auteur a su lui donner une vraie place dans cette histoire. Il n'est pas seulement un personnage secondaire, plus maintenant du moins, il est très souvent au centre des intrigues et devient un personnage incontournable. On se demande même comment la meute pourrait survivre sans lui. Il en est la tête pensante et le plus remarquable, c'est qu'il se contente tout à fait de cette position, et je pense qu'il ne l'échangerait pour rien au monde malgré les tracas que cela suscite.

Alexia est, elle, toujours aussi divine. J'adore vraiment son caractère, sa façon de voir les choses et d'agir. Elle est déroutante à certains moments, pétillante et sarcastique, s’accommodant de tout d'une façon déconcertante. Et je l'adore pour tout cela. Même avec son désagrément embryonnaire comme elle appelle son futur enfant, elle n'en reste pas moins adorable. Pourtant, ce terme pourrait paraître choquant, mais venant d'elle, c'est drôle et je pars du principe que quand on donne un surnom à quelque chose ou à quelqu'un, c'est qu'on y attache de l'affection quelle qu'elle soit. D'ailleurs grâce à lui, nous en apprenons encore plus dans ce tome. Sur le paranaturel comme sur le surnaturel. Chaque tome a son lot de révélations, et plus nous avançons, plus il est facile d'appréhender tout ce qu'il se passe et comment, le surnaturel a été amené à "coexister" avec le non-naturel. Nous n'apprenons pas forcément des choses très appréciables (le fanatisme religieux y étant pour beaucoup), par certains moments, mais cela fait partie d'un tout.

Un tome donc très agréable à lire, avec des crises de fou rire, de l'action, de l’impertinence, et même si la fin ne laisse pas tellement de surprise, il n'en reste pas moins que les intrigues sont très bien menées et que Gail Carriger sait toujours autant me charmer avec son style très original.
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Mais quel scandale ! Revenue d'Écosse, Lady Maccon s'est installée chez ses parents, enceinte de surcroît. Lord Maccon l'aurait mise à la porte ... Mais qui est le père de l'enfant à venir ?
Alexia, poursuivie par les vampires et déterminée à prouver à son idiot de mari que "le désagrément foetal" est bien de ses oeuvres, s'envole vers l'Italie à la recherche des Templiers. Mme Lefoux et Floote veillent sur elle.
Pendant ce temps, Lord Maccon sombre dans le formol ...
Mené tambour battant, ce troisième tome m'a semblé plus aboutit que les deux précédents. Loufoque et drôle à souhait. Un très bon moment de lecture. Je vais donc, de ce pas, me plonger dans "Sans coeur"

Challenge Multi-auteures SFFF
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Londres sous l'ère de Victoria,

Lady Alexia Maccon a quitté son mari. L'Alpha de la meute des loups-garous et quatrième comte de Woolsey, lord Conall Maccon, l'en a pratiquement contrainte en refusant de reconnaître l'enfant qu'elle porte. Hélas… d'après les écritures, une paranaturel et un surnaturel ne peuvent pas enfanter.
Depuis deux semaines elle loge chez son beau-père, sous les feux des critiques hystériques de sa mère et des conversations stupides de ses demi-soeurs. « le désagrément foetal » comme elle le nomme est une véritable énigme qui fait jaser toute la bonne société sur une hypothétique inconvenance qu'elle aurait commise hors de la couche maritale. L'affaire prend de telles proportions, qu'Alexia se voit également démettre de ses fonctions du Cabinet Fantôme de la reine Victoria. Rejetée par Conall, et forcément de la meute, abandonnée par lord Akeldama qui a disparu on ne sait où, menacée de mort par les vampires de la ruche de la comtesse Nadasky, pourchassée par une horde de coccinelles mécanisées en bombes, elle réunit quelques uns de ses amis proches et fidèles pour leur dévoiler ses plans. Elle part en Italie… (pays des mâles Italiens, du café, du pesto… de tutti quanti… mais aussi fief des Templiers).
Approuvé par le professeur Lyall, Bêta de la meute, qui est de plus en plus inquiet pour son Alpha repu de formol (il n'y a que ce breuvage qui peut le saouler), par Floote, le mystérieux-ancien valet de feu son père, et par Geneviève Lefoux, inventrice Française au service de l'Ordre de la Pieuvre de Cuivre, le voyage est décidé à l'unanimité…

« – Lady Maccon, comment osez-vous montrer votre visage ici ? Prendre le thé d'une façon aussi voyante en compagnie d'un (elle fit une pause), d'un carton à chapeau agité… Dans un établissement respectable, fréquenté par des femmes honnêtes, convenable et d'excellente réputation.. Vous devriez avoir honte ! Honte de simplement marcher parmi nous (….) Vous devriez être en train de ramper aux pieds de votre mari et de le supplier de vous reprendre. »

Au manoir de Woolsey, juste avant d'être enfermé dans les geôles souterraines du château par le professeur Lyall qui ne sait plus comment faire pour le sortir de sa dépression, Conall demande à son Gama le commandant Channing Channing des Chesterfield Channing de surveiller Alexia et de la protéger de tout danger.

Accompagnée de Geneviève, toujours habillée en homme, et de Floote, Alexia va chercher les explications de sa grossesse auprès de l'Ordre du Temple. L'Italie lui préserve des surprises… mamma mia !

« L'Italie ?
- le creuset des opinions antisurnaturelles, cracha le professeur Lyall.
- le cloaque du fanatisme religieux, ajouta Tunstell.
- Les Templiers.
Ce dernier mot était de Floote et il le murmura. »

Ce troisième tome est digne des précédents. L'écriture folle de l'auteur, humour et loufoqueries, me ravit chaque fois. Plus que l'histoire qui se développe, ce sont les extravagances des mots-fleurs. Gail Carriger jardine méticuleusement son scénario. Je me délecte alors des noms des personnages (Channing Channing des Chesterfield Channing, ou Emmet Wilberforce Bootbottle Fips, Fips pour les intimes, ou…), de leurs caractères extravagants, des situations absurdes, de toutes les machineries bizarres qu'elle crée, des réparties, de l'ambiance victorienne aromatisée de so style et de fantaisie… C'est sûr, elle doit être apparentée à lord Akeldama !
Nous sommes embarqués sur le Continent et découvrons les moeurs des autochtones avec les coquineries des Français et les goûts sauvages des Italiens pour le café et l'ail ! Si les vampires craignent ce condiment, les loups-garous redoutent le basilic. L'entourage habituel d'Alexia se restreint un peu car elle laisse son imbécile de mari qui pédale dans sa tête, sa meilleure amie Ivy devenue Madame Tunstell, la meute… Lord Akeldama est absent, la présence de lord Ambrose, vampire au service de la comtesse Nadasdy, est juste esquissée… mais l'histoire dévoile un peu plus de la personnalité ambiguë de Geneviève Lefoux et celle impénétrable de Floot le valet.
Je ne suis pas déçue par ce volet et je lirai sans aucun doute le suivant… « Sans coeur ».
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Impossible de terminer le tome 2 de la série du Protectorat de l'ombrelle sans enchaîner directement avec la suite. Après Sans forme, me voici donc plongée dans Sans honte...

Dans ce tome, c'est accompagnée de son amie française, l'inventrice Geneviève Lefoux, et de Floote, l'énigmatique mais si diablement efficace valet de feu son père, qu'Alexia se rend en Italie afin d'y rencontrer les Templiers et d'y trouver les réponses au "problème" révélé à la fin du tome précédent. Encore une fois, les dangers seront nombreux, les tentatives d'assassinat également, sans compter les fautes de goût de ce peuple latin barbare que sont les Italiens... Ah, Alexia a quitté le chic et les bonnes manières londonniennes, ça c'est sûr. Mais, heureusement pour elle, en Italie, il y a le pesto !

Sans grande surprise, et pour mon plus grand bonheur bien entendu, ce troisième tome se place en ligne directe de ses prédécesseurs. de l'aventure, de l'humour "so British", des inventions surprenantes dans un monde plein de surprises. On en apprend également un peu plus sur les paranormaux dans ce tome, chose intéressante car ces êtres sans âme sont tellement énigmatiques... le protectorat de l'ombrelle est une série vraiment addictive, dont les pages se tournent toutes seules et remplissent parfaitement l'unique rôle qu'on attend d'elles : la distraction !

À suivre donc très bientôt avec la suite, Sans coeur !
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Alexia, rejetée par son mari, décide de découvrir d'où vient la délicate situation dans laquelle elle se trouve.

Pour se faire, elle se trouve une nouvelle alliée et part en Italie pour en savoir plus.

Un tome 3 dans la veine des précédents, dans lequel les situations sont inextricables, mais jamais désespérées, l'humour toujours aussi présent et l'amour fini par triompher.

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Gail Carriger a un vrai talent pour croquer des personnages hauts en couleur, vivants, drôles, irrésistibles, et elle donne une saveur incomparable à cette série qui ne ressemble à aucune autre grâce à son écriture travaillée, pleine de charme et d'humour pince-sans-rire. J'ai trouvé l'intrigue très très bonne, meilleure que le tome 2, pleine d'action, et la tournure que prend la relation entre Alexia et Lord Maccon m'a rassurée, même si elle implique que ces derniers ne se cotoient que très peu dans cet épisode. de quoi largement allécher les lecteurs pour le tome 4 à venir...
Lien : http://chezradicale.canalblo..
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J'ai retrouvé avec toujours autant de plaisir Alexia Tarabotti dans le troisième tome de ses aventures. Et on ne s'ennuie pas dans ce roman-là, puisqu'on voyage de Londres par la France, jusqu'en Italie où Alexia se trouve aux prises avec les vampires locaux, les Templiers et certains scientifiques peu délicats. Alexia est égale à elle-même, à la fois caustique et bagarreuse, délicate et coquette. Je crois que je suis assez fan de Lady Maccon ! (août 2012)
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Résumé : " Une histoire de vampires, de loups-garous et d'imprévus. Alexia est indiscutablement LE scandale de la saison londonienne : après les événements inattendus survenus en Écosse, elle est retournée vivre chez ses parents. La reine Victoria n'a d'autre choix que de l'exclure du Cabinet fantôme, et la seule personne qui pourrait expliquer quelque chose, Lord Akeldama, a inopinément quitté la ville. Pour couronner le tout, Alexia se fait attaquer par une coccinelle mécanique létale, et découvre que les vampires de Londres ont juré sa mort. Tandis que Lord Maccon met toute son énergie à boire, et que le Professeur Lyall tente désespérément de maintenir la cohésion au sein de la meute Woolsey, Alexia s'enfuit en Italie à la recherche des mystérieux Templiers. Ils sont les seuls à pouvoir expliquer sa délicate condition actuelle. Mais ils pourraient aussi s'avérer pires que les vampires. Surtout armés de pesto."

Face aux accusations de son mari, Alexia Maccon, mise au banc de la bonne société anglaise, se rend en Italie ou elle pense avoir trouvé des preuves de sa fidélité. de plus, elle veut en savoir plus sur l'enfant q'elle porte.
Flanquée de l'irremplaçable Floote et de la farfelue Geneviève Lefloux, elle se mêle à un groupe de templiers mais comme à son habitude elle ne fait que s'attirer des ennuis.
J'aime toujours autant le coté décalé entre flegme anglais du XIXe siècle et les réflexions modernes. Sans parler des inventions franchement. bizarres qui ornent le récit.
Si Alexia va au bout de sa grossesse, je suis curieuse de voir la nature et l'étendue des pouvoirs de l'enfant d'Alexia et Conall.
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(...) Si la maternité d'Alexia apporte un peu plus de sensibilité à ce volume, les ingrédients habituels sont toujours en bonne place, l'humour né du décalage entre nos priorités et celles d'Alexia (ou de Lyall, le loup-garou le plus attentif à sa mise de tout le Commonwealth), ou des tentatives peu fructueuses de lord Maccon de comprendre les moeurs en vigueur avec la gent féminine humaine en général et avec sa femme en particulier ("ramper" et "se faire pardonner", principalement) en totale opposition avec sa nature d'Alpha, fonctionne toujours à plein. La plus grande implication de l'Ordre de la Pieuvre de Cuivre renforce un steampunk jusqu'ici resté en toile de fond. Enfin, des mystères s'éclaircissent et d'autres sont mis à jour. Floote et son ancien maître, le père d'Alexia, sont sous les feux de la rampe, mais ce sont des becs de gaz et pas des phares au xénon, aussi conserveront-ils plus que leurs parts d'ombre. Gail Carriger nous en garde pour la suite. Ô joie.
Lien : http://www.yozone.fr/spip.ph..
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Après mon coup de coeur pour les deux premiers tomes et après la fin complètement clifhangerienne du deuxième volet des aventures d'Alexia Tarrabotti, je ne pouvais que me jeter sur le troisième tome de cette saga steampunk, en espérant passer toujours un aussi agréable moment en compagnie de ces personnages loufoques et attachants.

Attention spoilers sur la fin du tome 2 !

Au début de Blameless, Alexia est dans une fâcheuse situation, elle est enceinte et son loup-garou de mari est persuadé que l'enfant n'est pas de lui et décide donc de la chasser de sa demeure. Mais voilà, alors qu'Alexia se retrouve hébegée dans sa maison familiale, le scandale éclate dans la presse et sa famille l'a met à la porte. Désolée, elle se réfugie chez son ami, Lord Akeldama. Mais elle découvre vite que ce dernier a disparu et devient bientôt la cible d'insectes meurtriers. Une fois n'est pas coutume, Alexia décide de mener l'enquête jusqu'en Italie, sur les traces de ses origines.

Je ne pensais vraiment pas dire cela un jour, mais je suis ressortie assez déçue de ma lecture de ce troisième tome des aventures d'Alexia. Non pas que ce ne fut pas une bonne lecture, non c'est toujours aussi agréable de suivre les déconvenues du personnage principal. Mais dans ce tome, contrairement aux précédents, l'auteure a voulu mettre l'accent sur l'action, le récit, au détriment, quelque peu, des personnages. Alors certes, on apprend de nombreux éléments sur le passé d'Alexia, mais j'ai vraiment ressenti une impression de trop-plein, de surplus de scènes d'action, qui m'ont un peu gâché ma lecture. le lecteur et Alexia ont à peine le temps de reprendre leur souffle à la fin d'un chapitre qu'un nouveau bouleversement ou événement inattendu survient. Dommage, car l'idée d'avoir deux intrigues différentes (celle d'Alexia et celle de Lord Maccon) était vraiment bien trouvée et permettait d'ajouter un peu plus d'originalité et de rythme à l'ensemble du roman. Mais cet effet est malheureusement gâché par le trop-plein de scènes d'aventures. C'est pour moi le gros point noir de ce tome, j'ai vraiment l'impression que l'auteur a fait dans la surenchère d'action.

Surenchère qui, malheureusement, fait un peu du tort aux personnages. S'ils sont toujours aussi drôles et attachants (en particulière Alexia, qui se découvrant des sentiments maternels, devient très touchante), je les ai trouvés moins mordants, moins loufoques que dans les deux tomes précédents. Alors c'est vrai, on sent quand même une certaine évolution dans la maturité des personnages et je ne saurais pas vraiment expliquer ce que j'ai éprouvé durant ma lecture, mais je me suis sentie moins proche des personnages qu'auparavant.

Ce qui m'a aussi déçu, ce fut le manque de scènes romantiques. Vous savez, ces scènes entre Lord Maccon et Lady Alexia ? Ces joutes verbales étaient mes passages préférés des deux précédents volets de la saga et comme ici, ces deux personnages sont séparés quasiment tout le long du roman, j'ai vraiment ressenti qu'il manquait un petit quelque chose au récit.

Enfin, un petit mot sur la plume de Gail Carriger, qui est toujours aussi savoureuse et délectable, même si, comme je l'avais déjà indiqué, j'ai regretté un manque d'ironie (toujours présente mais un peu en sourdine) dans l'ensemble. Après, il est comme même bon d'indiquer que le roman se dévore en quelques heures. Très rythmé, dynamique, les pages se tournent à une vitesse folle.

En bref, Blameless pèche un peu par excès de scènes d'action. de fait, même si l'on en apprend plus sur le monde qui Steampunk créé par l'auteure et sur les personnages, le récit, concentré en quelques jours, n'avance guère. Je reste néanmoins toujours aussi bon public de cette saga et malgré cette déception, je lirai la suite avec grand plaisir.
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