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Critique de kikenbook
Peut-on lire "Le jeu du Chuchoteur" sans avoir lu "L'écorchée" et "L'égarée" qui le sépare du premier roman de la saga "Mila", "le Chuchoteur" ? Oui, très clairement. Alors les afficionados répondront peut-être que c'est dommage, qu'on passe à côté de la naissance du lien entre Mila et Simon, son collègue, mais, en vérité, non. On peut parfaitement lire ce volume sans avoir lu les 2 précédents.
Ici, Mila a laissé tomber les enquêtes et s'est mise à l'écart de la société avec sa petite fille, Alice, âgée maintenant de 10 ans. Mais suite à l'appel au secours en pleine nuit d'une mère de famille paniquée, la police découvre la maison familiale vidée de ses propriétaires mais les murs recouverts de sang. Aucune trace de la famille. Assez rapidement, on retrouve un suspect au corps entièrement recouvert de chiffres tatoués et parmi ces tatouages, le prénom de Mila. Wahou ! Si ça ce n'est pas une bonne raison pour faire revenir Mila dans le game ! La police demande donc à Mila de reprendre du service pour l'aider à découvrir qui est ce tatoué, où est passé la famille, et quel est le lien entre elle le présumé assassin…
Même si l'on peut regretter quelques facilités scénaristiques et une enquête située dans l'environnement parfois confus des jeux de réalité virtuelle, il n'en reste pas moins que l'intrigue est toujours aussi bien ficelée et que les rebondissements vont bon train. L'écriture est fidèle à ce qui avait fait la qualité du "Chuchoteur", difficile d'en dire plus sans trop en dévoiler.
Que penser de la fin ouverte ? En temps normal, ça ne me dérange pas, au contraire, même parfois. Mais ici, on ressent comme une sorte d'obligation à exploiter le filon "Chuchoteur" jusqu'au bout quitte à ne pas répondre aux questions qu'on se pose depuis le premier volume, notamment sur le passé de Mila. Alors oui, évidemment, ça crée un méga cliffhanger dans l'attente d'une prochaine enquête de Mila, mais attention, à trop vouloir placer le lecteur en attente de réponses, on joue peut-être avec le feu. A utiliser plusieurs fois la même recette et refaire le même gâteau, ne risque-t-on pas d'écoeurer ceux qui au départ savouraient avec appétit et gourmandise ? A voir…
Ici, Mila a laissé tomber les enquêtes et s'est mise à l'écart de la société avec sa petite fille, Alice, âgée maintenant de 10 ans. Mais suite à l'appel au secours en pleine nuit d'une mère de famille paniquée, la police découvre la maison familiale vidée de ses propriétaires mais les murs recouverts de sang. Aucune trace de la famille. Assez rapidement, on retrouve un suspect au corps entièrement recouvert de chiffres tatoués et parmi ces tatouages, le prénom de Mila. Wahou ! Si ça ce n'est pas une bonne raison pour faire revenir Mila dans le game ! La police demande donc à Mila de reprendre du service pour l'aider à découvrir qui est ce tatoué, où est passé la famille, et quel est le lien entre elle le présumé assassin…
Même si l'on peut regretter quelques facilités scénaristiques et une enquête située dans l'environnement parfois confus des jeux de réalité virtuelle, il n'en reste pas moins que l'intrigue est toujours aussi bien ficelée et que les rebondissements vont bon train. L'écriture est fidèle à ce qui avait fait la qualité du "Chuchoteur", difficile d'en dire plus sans trop en dévoiler.
Que penser de la fin ouverte ? En temps normal, ça ne me dérange pas, au contraire, même parfois. Mais ici, on ressent comme une sorte d'obligation à exploiter le filon "Chuchoteur" jusqu'au bout quitte à ne pas répondre aux questions qu'on se pose depuis le premier volume, notamment sur le passé de Mila. Alors oui, évidemment, ça crée un méga cliffhanger dans l'attente d'une prochaine enquête de Mila, mais attention, à trop vouloir placer le lecteur en attente de réponses, on joue peut-être avec le feu. A utiliser plusieurs fois la même recette et refaire le même gâteau, ne risque-t-on pas d'écoeurer ceux qui au départ savouraient avec appétit et gourmandise ? A voir…
