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Critique de Mimilitavecmoi
L'une a perdu sa petite-fille, l'autre sa grand-mère. le hasard, mais est-ce vraiment le hasard ?, les fait se rencontrer.
Pendant environ un tiers du roman je me suis demandée où Coralie Caulier voulait m'emmener. Et puis, une fois les personnages bien installés, les questions et les mystères se sont succédés rendant cette lecture addictive.
J'ai échafaudé des suppositions mais j'étais loin de deviner ce que cachaient les absences d'Yvette.
La lecture du journal intime trouvé dans la chambre qu'Alice occupe chez Yvette va tout changer. J'ai été touchée par les liens qui se sont tissés entre elles, c'était tout à tour chaleureux, poignant, réconfortant, doux et cruel.
J'ai été conquise par cette lecture et grâce à elle, j'ai replongé dans les souvenirs des moments passés avec ma grand-mère. "Et parce qu'il est important de se souvenir. Se souvenir encore. Se souvenir toujours."
J'ai beaucoup aimé la construction qui m'a laissée dans le flou au départ et qui m'a ensuite entraînée dans un tourbillon de doutes, de questions, d'émotions, de secrets de famille et de paysages battus par les vents.
La fin est tellement émouvante, tellement belle tout simplement.
Et quelle magnifique couverture qui prolonge l'été !
"Cette immensité lui donnait le tournis. Elle ne représentait pas même le dixième d'une poussière à cette échelle. Elle était presque inexistante pour l'univers. Et pourtant, elle était là, elle avait survécu épreuve après épreuve. Quel projet avait sa destinée pour elle ? Quel rôle dans ce grand marasme de l'existence maigrelette d'une vie humaine ?"
"La vie n'est pas faite pour nous faire des cadeaux. Ce n'est pas son rôle et ce n'est pas grave. Il faut juste arrêter de lui prêter des vocations qui ne sont pas les siennes. C'est à nous de les dénicher, ces présents, de les laisser éclater au grand jour. Mais ils sont parfois si bien cachés qu'on passe à côté sans les voir."
Pendant environ un tiers du roman je me suis demandée où Coralie Caulier voulait m'emmener. Et puis, une fois les personnages bien installés, les questions et les mystères se sont succédés rendant cette lecture addictive.
J'ai échafaudé des suppositions mais j'étais loin de deviner ce que cachaient les absences d'Yvette.
La lecture du journal intime trouvé dans la chambre qu'Alice occupe chez Yvette va tout changer. J'ai été touchée par les liens qui se sont tissés entre elles, c'était tout à tour chaleureux, poignant, réconfortant, doux et cruel.
J'ai été conquise par cette lecture et grâce à elle, j'ai replongé dans les souvenirs des moments passés avec ma grand-mère. "Et parce qu'il est important de se souvenir. Se souvenir encore. Se souvenir toujours."
J'ai beaucoup aimé la construction qui m'a laissée dans le flou au départ et qui m'a ensuite entraînée dans un tourbillon de doutes, de questions, d'émotions, de secrets de famille et de paysages battus par les vents.
La fin est tellement émouvante, tellement belle tout simplement.
Et quelle magnifique couverture qui prolonge l'été !
"Cette immensité lui donnait le tournis. Elle ne représentait pas même le dixième d'une poussière à cette échelle. Elle était presque inexistante pour l'univers. Et pourtant, elle était là, elle avait survécu épreuve après épreuve. Quel projet avait sa destinée pour elle ? Quel rôle dans ce grand marasme de l'existence maigrelette d'une vie humaine ?"
"La vie n'est pas faite pour nous faire des cadeaux. Ce n'est pas son rôle et ce n'est pas grave. Il faut juste arrêter de lui prêter des vocations qui ne sont pas les siennes. C'est à nous de les dénicher, ces présents, de les laisser éclater au grand jour. Mais ils sont parfois si bien cachés qu'on passe à côté sans les voir."
