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Citations sur Les folles années, tome 1 : Les héritiers (10)

Je ne veux pas entendre parler de culpabilité ou de moralité. Jusqu’au lever du soleil, nous ferons semblant que tous les bien-pensants du Canada français comme du Canada anglais n’existent plus. Si vous voulez vous désoler demain, vous le ferez sans moi. Car, voyez-vous, je suis las de ces gens. Ils réprouvent ce que nous venons de faire, et que nous recommencerons encore dans un instant, mais ils trouvaient respectable de m’envoyer tuer des jeunes gens de mon âge.
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Même si un homme te paraît merveilleux, mieux vaut dissimuler ton. . enthousiasme.
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La plupart de ces hommes, enrôlés très jeunes pour aller à la guerre, connaissaient un seul métier: tuer.
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Je me suis habituée à mon indépendance. Je mène mon affaire comme je l’entends. Je suis la seule responsable de mes succès et de mes échecs.
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Si un garçon demeure bouche bée devant une jolie fille, tout au plus, il fera sourire. Au pire, il passera pour niais. Mais si une fille a la même attitude, elle verra sa situation ruinée.
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Il a utilisé des mots. . très durs.
« Garce » et « tramée » lui résonnaient toujours aux oreilles. Bien sûr, l’homme ne lui avait pas jeté d’accusation au visage, mais il avait évoqué une «pente dangereuse».
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Demain, au plus tard après-demain, nous serons vieux. Tout le monde rêve d’un enfant aimant pour prendre soin de lui à ce moment.
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Parlez-vous, mettez fin à votre différend, sinon vous vous construirez une existence malheureuse pour les cinquante prochaines années.
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La popularité des courses de chevaux ne se démentait pas. De très nombreux notables - avocats, manufacturiers, propriétaires de commerce - se payaient le luxe de posséder un superbe étalon. Une douzaine de fois pendant l’été, ils revêtaient leurs plus beaux atours pour se rendre dans des manifestations populaires. Les plus téméraires se mêlaient même de conduire eux-mêmes leur bête. Cela se produisait rarement lors des courses de plat. Bien peu, parmi ces bourgeois, se seraient risqués à galoper sur le dos d’un étalon nerveux, et puis leur embonpoint les condamnait à une piètre performance. Toutefois, pour les trots attelés, certains se retrouvaient le cul calé dans un sulky, les rênes solidement tenues dans une main, un fouet dans l’autre.
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Sortir de sous les jupes de maman présente de bons côtés. Je me suis fait des amies à Montréal, je suis contente de mon indépendance.
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