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Critique de moravia


Henry Sherman a des ambitions politiques. Afin de mettre toutes les chances de son côté, il a envoyé sa fille compromettante de l'autre côté de l'atlantique. Mais elle n'a pas dit son dernier mot. Après avoir goutté aux paradis artificiels, elle s'envoie en l'air devant une caméra. Il faut bien que jeunesse se passe, me direz-vous. Certes, mais la fifille est aussi rancunière. Elle se propose d'envoyer à la presse ses films éducatifs. Papa panique. Transpire à grosses gouttes, lui qui pense devenir président des Etats-Unis. Il contacte son ami John Dorey, responsable de la CIA, section française, afin de récupérer discrètement les pellicules gênantes. Girlend, un homme de main qui n'a pas froid aux yeux, fera le travail. Il serait capable en pleine guerre froide d'aller piller le tombeau de Lénine. Radnitz, un homme d'affaire qui a tout misé sur le futur président, a une solution plus radicale. Envoyer un tueur à gages pour effacer du paysage la fille et le cinéaste. Ainsi plus de film possible ! Pour compléter le tableau, le KGB toujours aux aguets, va s'inviter dans la danse.

En 1969, James Hadley Chase nous avait concocté ce roman policier plein d'action sans pour autant être très original, d'autant que certaines scènes rocambolesques manquaient de réalisme. Ce n'est pas le livre à ouvrir en priorité si vous voulez apprécier cet auteur britannique.
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