Avec ce troisième tome s'achève le cycle 1 de cette saga. Cette histoire d'enfants livrés à eux-mêmes et confrontés à des adultes devenus méchants se lit facilement. A tout dire, ce n'est pas de la grande littérature et l'on y croise quelques coquetteries de traduction.
Pour apprécier pleinement ce moment de lecture, il aurait fallu un peu moins d'écologisme politiquement correct. L'auteur outre certains poncifs à cet égard se fait aussi le chantre d'un féminisme un peu bébête... Dommage, car le souffle et l'imagination étaient là pour faire de cette série un très bon moment. du coup, un peu déçu de cette première fois avec
Maxime Chattam.
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