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Critique de odin062
Voici maintenant 4 ans que la saga Autre-monde a débuté ! Les trois premiers tomes formaient une trilogie focalisée sur le continent américain et l'affrontement Cyniks/Pans. Puis le quatrième tome semblait faire la transition entre deux cycles permettant de mettre en place une nouvelle intrigue et recentré l'histoire sur Entropia et l'origine de la tempête. Oz, cinquième tome de cette saga marque un renouveau et relance l'histoire tandis qu'elle commençait à se répéter. Je précise que cette critique révèle l'intrigue du roman.
Ainsi les pans ont décidé de partir à la recherche des deux autres coeurs de la terre. On reprend l'histoire quelques mois après le quatrième tome, le temps des préparatifs, et on se retrouve rapidement embarqué en plein océan Atlantique dans un vaisseau digne des Kloropanphylles. On retrouve ce qui fait le succès de cette série : des montres, des combats, du suspens, de l'amour, une critique de l'humanité mais on y trouve également de nombreuses nouveautés.
Je pense par exemple à l'idée même de l'exploration de l'Europe. J'attendais tellement de savoir ce qui s'y cachait et je dois avouer que Chattam a fait très fort ! L'idée même d'un débarquement sur le territoire français donne une autre dimension à cette exploration. En Amérique, tout semblait éloigné de notre réalité alors qu'ici, on se voit frapper par le réalisme des descriptions et on rallie aisément ces décors aux villes actuelles. le vocabulaire d'autre-monde se voit également bouleversé et de nouveaux pans font leur apparition si bien qu'on se perd un peu au début le temps de se familiariser avec ce nouvel univers.
Je tiens à souligner la noirceur de ce tome, certes propre aux romans de Maxime Chattam, mais qui jusque-là n'avait pas encore frappé cette saga. Et c'est bien là le génie de l'auteur ! Ce roman fantastique possède tout ce que d'autres romans n'ont pas forcément. Les héros sont malmenés du début à la fin. La mort est omniprésente et des personnages auxquels nous sommes attachés disparaissent en quelques secondes nous laissant dans une profonde tristesse.
Pour finir, ce roman est imprévisible et bourré de retournement de dernière minute. Les fins de chapitres au suspens intense propre à l'auteur une nouvelle fois ne manque pas de nous entrainer dans une lecture qui dure, qui dure…
Bref, ce roman est une perle, bien au-dessus des autres romans de la saga, beaucoup plus dur, beaucoup plus cruel. Chattam nous emmène dans un voyage extraordinaire qui, sommes toute, pourrait être encore plus approfondi. C'est ici la limite du roman et de la saga en général : on ne voudrait pas que ça s'arrête.
Ainsi les pans ont décidé de partir à la recherche des deux autres coeurs de la terre. On reprend l'histoire quelques mois après le quatrième tome, le temps des préparatifs, et on se retrouve rapidement embarqué en plein océan Atlantique dans un vaisseau digne des Kloropanphylles. On retrouve ce qui fait le succès de cette série : des montres, des combats, du suspens, de l'amour, une critique de l'humanité mais on y trouve également de nombreuses nouveautés.
Je pense par exemple à l'idée même de l'exploration de l'Europe. J'attendais tellement de savoir ce qui s'y cachait et je dois avouer que Chattam a fait très fort ! L'idée même d'un débarquement sur le territoire français donne une autre dimension à cette exploration. En Amérique, tout semblait éloigné de notre réalité alors qu'ici, on se voit frapper par le réalisme des descriptions et on rallie aisément ces décors aux villes actuelles. le vocabulaire d'autre-monde se voit également bouleversé et de nouveaux pans font leur apparition si bien qu'on se perd un peu au début le temps de se familiariser avec ce nouvel univers.
Je tiens à souligner la noirceur de ce tome, certes propre aux romans de Maxime Chattam, mais qui jusque-là n'avait pas encore frappé cette saga. Et c'est bien là le génie de l'auteur ! Ce roman fantastique possède tout ce que d'autres romans n'ont pas forcément. Les héros sont malmenés du début à la fin. La mort est omniprésente et des personnages auxquels nous sommes attachés disparaissent en quelques secondes nous laissant dans une profonde tristesse.
Pour finir, ce roman est imprévisible et bourré de retournement de dernière minute. Les fins de chapitres au suspens intense propre à l'auteur une nouvelle fois ne manque pas de nous entrainer dans une lecture qui dure, qui dure…
Bref, ce roman est une perle, bien au-dessus des autres romans de la saga, beaucoup plus dur, beaucoup plus cruel. Chattam nous emmène dans un voyage extraordinaire qui, sommes toute, pourrait être encore plus approfondi. C'est ici la limite du roman et de la saga en général : on ne voudrait pas que ça s'arrête.
