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Critique de cecile13
Deuxième tome de la Trilogie du Mal. Nous retrouvons ici Josh Brolin, ancien profiler du FBI, ancien inspecteur de police, devenu detective privé, spécialisé dans les disparitions.
Un nouveau personnage apparaît dans ce roman (personnage qu'on retrouvera dans le tome suivant), Annabel O'donnell, jeune femme flic , hantée par la disparition inexpliquée de son mari.
Dans le premier tome, l'intrigue se déroulait à Portland, Oregon. Ici, tout se passe quasiment à New York. Mais plutôt les quartiers malfames que Central Park et l'Upper East Side.
Le fait que l'action se déroule à New York apporte une atmosphère poisseuse, sombre et la ville fait partie intégrante du récit et un personnage à part entière.
Une enquête prenante, avec un petit coup de mou en milieu de roman ( roman qui fait quasiment 600 pages en version poche tout de même ).
On suit pas à pas l'enquête à travers le regard des inspecteurs avec ses fausses pistes et ses rebondissements. Tout s'accélère dans les 150 dernières pages. On dévore les pages pour connaître le fin mot de cette sombre histoire.
Un dénouement inimaginable pour une enquête glauque et violente. Maxime Chattam nous emmène loin dans la folie de l'Homme.
A déconseiller aux âmes sensibles, préférez plutôt un Agatha Raisin.
Un nouveau personnage apparaît dans ce roman (personnage qu'on retrouvera dans le tome suivant), Annabel O'donnell, jeune femme flic , hantée par la disparition inexpliquée de son mari.
Dans le premier tome, l'intrigue se déroulait à Portland, Oregon. Ici, tout se passe quasiment à New York. Mais plutôt les quartiers malfames que Central Park et l'Upper East Side.
Le fait que l'action se déroule à New York apporte une atmosphère poisseuse, sombre et la ville fait partie intégrante du récit et un personnage à part entière.
Une enquête prenante, avec un petit coup de mou en milieu de roman ( roman qui fait quasiment 600 pages en version poche tout de même ).
On suit pas à pas l'enquête à travers le regard des inspecteurs avec ses fausses pistes et ses rebondissements. Tout s'accélère dans les 150 dernières pages. On dévore les pages pour connaître le fin mot de cette sombre histoire.
Un dénouement inimaginable pour une enquête glauque et violente. Maxime Chattam nous emmène loin dans la folie de l'Homme.
A déconseiller aux âmes sensibles, préférez plutôt un Agatha Raisin.
