Citations sur Le livre anti toxique: Alimentation, cosmétiques, maiso.. (19)
Impossible d’échapper au plastique tant il est omniprésent. Les plastiques représentent une catastrophe pour la planète, car, imparfaitement recyclés, ils s’accumulent partout, notamment au niveau des océans. Si tous les plastiques ne sont pas à considérer de la même manière en termes d’effets sur la santé, en particulier dans les emballages des aliments, il faut globalement s’en méfier au vu des informations partielles et parcellaires dont nous disposons.
La première règle est aussi d’éviter les tissus antitaches, antistatiques, antifeu, antirétrécissement, antiodeurs, antibactériens, infroissables, imperméabilisés, ou avec impression plastifiée. Tous ces tissus par définition sont imprégnés de nombreux composés chimiques plus ou moins émissifs.
La puissance publique doit commencer par prendre clairement position entre le droit au secret industriel et le droit de savoir des consommateurs, et le droit à un environnement sain.
il faut savoir que les toxiques peuvent être solubles soit dans l’eau (« hydrosolubles »), c’est-à-dire dans les milieux aqueux de l’organisme (le sang, la lymphe), et alors assez facilement éliminés dans les urines, soit « liposolubles », c’est-à-dire qu’ils se stockent dans les graisses et sont dès lors plus difficiles à rejeter.
La plupart des habits que nous portons actuellement proviennent des pays les plus laxistes sur le plan environnemental et sur la législation du travail.
La règle absolue est de ne pas faire brûler les aliments et de privilégier les cuissons douces et lentes.
Inutile de transformer votre habitation en hôpital en recherchant la « super » hygiène et en luttant à tout prix contre toutes les bactéries.
Le meilleur des désherbants reste la binette. Des générations ont utilisé ce moyen simple, efficace, qui permet en plus de pratiquer une activité physique.
il est déconseillé de consommer le gras des animaux (viandes grasses, charcuteries...), certains polluants s’y concentrant par des phénomènes dits de bioaccumulation.
La soumission des pouvoirs publics au lobby de l’industrie est consternante et semble dans bien des cas faire passer la protection des individus au second plan.