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Critique de gloubik


Ce roman de Peter Cheyney a été publié pour la première fois en 1941, en pleine seconde guerre mondiale, et traduit par Maurice Duhamel en 1949. Et l'ancienneté de la traduction transparait. Mais ce n'est pas vraiment une critique. Juste un constat. Non. Ce qui m'a gèné le plus, c'est l'alccolisme exacerbé du héros. Ça en est invraisemblable. L'aventure de Lemmy Caution se déroule sur quelques jours à Londres et ses environs. Et dans ce lapse de temps, Caution s'enfile une moyenne de deux ou trois bouteilles de whisky par jour. Et il n'est pas le seul. À la première occasion — toutes les dix pages — il s'enfile quatre doigts de whisky... ou un verre à plein bord. :-) Et cela sans compter la soirée passée avec l'une des femmes. Là, il est question de plusieurs bouteilles. Mais cela ne l'empêche pas de remplir ses fonctions d'agent du FBI. Conduite, Baston, tir... tout lui réussi. Et en plus il n'a pas besoin de dormir, ou si peu. Les méchants sont méchants et bêtes. Les trois héroïnes sont très belles, chacune à sa façon. Et elle craquent toutes les trois pour l'agent alcoolique. Mais il faut dire que deux d'entre elles picolent autant que lui.

En bref : Mis à part cet alcoolisme, l'histoire est plaisante, pleine de rebondissements. L'alcool, les pépées, les bagarres, les meurtres, l'espionnage, tous les ingrédients sont là pour faire de ce roman un divertissement. Un roman à lire pour ne pas se prendre la tête. Rien d'intellectuel dans le comportement de nos différents protagonistes.

Ce roman a fait l'objet d'une adaptation cinématographique signée par Bernard Borderie, sorti en 1963, avec Eddy Constantine dans le rôle de Lemmy Caution.
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