The Mortal Instruments - La malédiction des anciens, tome 1 : Les parchemins rouges

- Pour gâcher, l’ambiance ont peu toujours compter sur les démons, maugréa Magnus.

- Ne me demande plus jamais de te lâcher. Je ne t’écouterai pas. je veux être avec toi. Il n’y a rien de plus important pour moi. Si tu tombes, je tombe avec toi.
- Alors reste.

Alors il pensa à Alec. Alec et ses contradictions déchirantes, sa timidité, son courage, sa dureté et sa tendresse. Alec et ses yeux bleu sombre, son regard avant de l’embrasser pour la première fois. Leur dernier baiser.

- Allez, Lightwood. Montre-nous le chemin. On va chercher ton homme.

- Je n’ai pas envie que notre histoire tourne court par ma faute. Je ne veux pas que tu t’éloignes de moi à cause d’une confidence que j’aurais pu te faire. Jusqu’où veux-tu connaître la vérité, Alexander ?
- Je veux tout savoir.

L’amour flirtait parfois dangeureusement avec la folie. Plus les sentiments étaient forts, plus ils étaient dangereux.

Alec avait toujours cru en la Loi, mais si elle ne protégeait pas Magnus, elle devait être modifiée.

L’histoire nous a montré que les Nephilim sont capable de cruauté envers leurs semblables autant qu’envers les Créatures Obscures.

Si Magnus était capable d’amuser la galerie, il finirait peut-être par avoir envie de rire, lui aussi. S’il était toujours de bonne compagnie, il ne serait jamais seul et s’il faisait mine d’aller bien, il finirait par s’en convaincre lui-même.

C'est bizarre de s'appeler Muriel pour un ange, fit observer Magnus. Ça fait prof de piano revêche. (Il brandit un poignard séraphique imaginaire et prit un ton incantatoire. ) Ma grand-tante Muriel.