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Critique de sassenach
Nathalie, de retour à Vannes, fuit les gens et la foule depuis qu'elle a fait la une de l'actualité lors d'un voyage en Australie il y a quelques mois. Il faut dire que l'affaire était loin d'être commune : partie avec son petit ami surnommé Sac, les deux jeunes gens avaient décidé de traversé le continent en voiture du Nord au Sud mais le jeune homme ne reviendra jamais de ce périple car le couple fera une mauvaise rencontre …
Sorte de parodie de Cul de sac de Douglas Kennedy, ce court roman policier nous donne une vision de l'Australie assez peu reluisante mais plutôt juste sur certains aspects. Ayant nous-même traversé ce pays en voiture sur cette même route (avec même des détours sur des pistes encore plus isolées), je voulais voir ce qu'en disait l'auteur, qui connait bien l'Australie car il y vit une partie de l'année. Je vous rassure, il n'y a pas réellement de tueur psychopathe derrière chaque buisson mais la description de la faune et de la flore sont assez justes (dès la tombée de la nuit, les animaux pullulent partout !). On découvre au fur et à mesure de l'histoire que l'âme humaine n'est pas forcément très belle non plus mais on n'est pas dans un conte pour enfant, alors on n'est pas franchement surpris par ce qu'on découvre. le format court se prête bien au jeu, plus de pages aurait sûrement enlevé du punch à l'histoire en la faisant trainer en longueur mais je regrette un peu de ne pas avoir retrouver l'aspect déjanté au limite du burlesque qu'il y avait dans le livre de Douglas Kennedy. Cela n'en reste pas moins une lecture honnête qui m'a surtout intéressée par le côté « souvenir » que j'y ai trouvé !
Sorte de parodie de Cul de sac de Douglas Kennedy, ce court roman policier nous donne une vision de l'Australie assez peu reluisante mais plutôt juste sur certains aspects. Ayant nous-même traversé ce pays en voiture sur cette même route (avec même des détours sur des pistes encore plus isolées), je voulais voir ce qu'en disait l'auteur, qui connait bien l'Australie car il y vit une partie de l'année. Je vous rassure, il n'y a pas réellement de tueur psychopathe derrière chaque buisson mais la description de la faune et de la flore sont assez justes (dès la tombée de la nuit, les animaux pullulent partout !). On découvre au fur et à mesure de l'histoire que l'âme humaine n'est pas forcément très belle non plus mais on n'est pas dans un conte pour enfant, alors on n'est pas franchement surpris par ce qu'on découvre. le format court se prête bien au jeu, plus de pages aurait sûrement enlevé du punch à l'histoire en la faisant trainer en longueur mais je regrette un peu de ne pas avoir retrouver l'aspect déjanté au limite du burlesque qu'il y avait dans le livre de Douglas Kennedy. Cela n'en reste pas moins une lecture honnête qui m'a surtout intéressée par le côté « souvenir » que j'y ai trouvé !
