Monsieur Linh a quitté son pays et la guerre avec dans ses bras un tout petit bébé, sa petite fille, pour la solitude d'un pays lointain et froid dont il ne connait rien.
Ce court roman ressemble à un long poème sur l'exil, la mémoire et l'amitié. En lisant ce récit mélancolique, on est partagé entre souffle coupé devant la beauté du texte et malaise. La fin nous laisse sans voix et ce livre nous hante bien après avoir fermé la dernière page.
Commenter  J’apprécie         333