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Citations sur Player one (71)

Être humain, plus nul, tu meurs !
Les jeux vidéo sont la seule chose qui rende la vie supportable.
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Jadis une grande nation, le pays où j'étais n’avait plus de grand que le nom. Peu importaient les responsables au pouvoir, ils se contentaient de modifier l'agencement des transats sur le pont du Titanic et personne ne se faisait d’illusions.
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La chasse est lancée. Une seule façon d'y survivre : gagner.
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L’oasis était une utopie en ligne
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Nous étions à l’aube d’une ère nouvelle : la majeure partie de l’espèce humaine passait désormais tout son temps libre à l’intérieur d’un jeu vidéo.
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p.371.
Il ne méritait pas son pouvoir, ni sa position, mais une humiliation et une défaite publique. Il fallait que quelqu'un lui botte le train sous les yeux du monde entier.
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p.308.
Alors que le tapis roulant m'entraînait lentement vers le poste suivant, des moniteurs à écran plat accrochés au-dessus de ma tête repassaient en boucle le même film éducatif toutes les dix minutes : "Le servage, c'est le chemin le plus rapide de la dette à la réussite !" Ils avaient choisi des stars de la télévision de troisième zone pour débiter leur propagande d'entreprise d'un ton enjoué tout en expliquant les détails de la politique de servage d'IOI. Après avoir visionné ce film cinq fois, je récitais le texte en play-back.
- Que puis-je espérer après avoir terminé la première phase de triage et avoir été placé à un poste permanent ? s'interrogeait Johnny, le personnage principal du clip.
Rester esclave de cette entreprise pour le restant de tes jours, Johnny, ai-je songé, mais j'ai continué à regarder le représentant des ressources humaines d'IOI qui expliquait pour la énième fois à Johnny la vie quotidienne d'un serf.
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p.123.
Les Halliday ressemblaient à une famille américaine ordinaire. Rien ne donnait à penser que cet homme stoïque, vêtu d'un costume décontracté de couleur marron, était un alcoolique qui maltraitait sa famille, que cette femme souriante en pantalon à fleurs était schizophrène, ni que ce jeune garçon au t-shirt passé à l'effigie d'Astéroïdes créerait un jour un univers entièrement nouveau.
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L'OASIS devait finir par modifier la manière dont on vivait, travaillait et communiquait dans le monde entier. Elle devait transformer les loisirs, les réseaux sociaux et jusqu'à la politique mondiale. Même si on l'avait commercialisée comme un type inédit de jeu de rôle en ligne massivement multi-joueurs (MMO), l'OASIS avait engendré un nouveau mode de vie.
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Un roman plaisant, si on arrive à passer outre ses deux gros écueils, à savoir son postulat de départ, et sa mise en place.

Pour le postulat de départ, au-delà de la chasse à l’œuf, l'action se passe en 2045, et présente, au travers de son héros Wade Watts une société complétement accro à l'OASIS, une réalité virtuelle qui a remplacé à peu près tous les services de la vie réelle. Et c'est dans cet OASIS, qu'il va falloir partir à la chasse au McGuffin (3 clés qui servent à récupérer un oeuf, qui donne lui le contrôle à la société derrière l'OASIS). Cette chasse au trésor est truffée de référence à la culture pop des années 70 et 80, sujet sur lequel le héros, ses amis, et beaucoup de ses concurrents sont hyper calés. Ça m'a semblé assez peu crédible, qu'en 2045, tant de gens se passionnent pour la culture populaire de cette période. C'est un peu comme si les adolescents des 90's se passionnaient pour le cinéma ou les pulps des années 30, au point de tout savoir sur le sujet. Il faut donc faire un effort de suspension d'incrédulité pour accepter un tel point de départ.

Ensuite, toute la mise en place de l'intrigue et la présentation de cet univers dans lequel évolue son héros, s'accompagne d'un nombre incalculable de référence à la pop culture. Sont citées d'innombrables films, séries, dessin-animés, jouets, jeux, et j'en passe. C'est un peu le cœur de ce livre, car c'est cette connaissance qui va faire avancer le héros dans l'intrigue, mais c'est absolument indigeste. Surtout, plus que de tisser un lien avec le lecteur au travers moult clins d’œil (ce qui marche en partie, on ne peut s’empêcher de se dire Whaou! Je me souviens de ça!), cela donne surtout l'impression que l'auteur cherche à nous impressionner par SA connaissance du sujet, à nous prouver qu'il est plus geek que nous, pauvre lecteur. Cela rend les 150 premières pages (le quart du livre, tout de même) assez pénible à lire.

Heureusement, l'intrigue se met ensuite en place, et on va pouvoir suivre son déroulement avec un certain plaisir. Il y a toujours de très nombreuses références mais elles servent cette fois-ci à faire avancer l'intrigue, plutôt qu'à épater la galerie.

Une lecture que, malgré mes 2 grosses réserves, je ne regrette pas, mais ce n'est nullement le chef d’œuvre qu'on nous a (sur)vendu.
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