Faute de preuves

Enfin ! le dernier Coben de ma pile à lire et le dernier tout court, j'en ai assez lu pour deviner la fin en me contentant du résumé.
Et c'est reparti pour les mêmes défauts ! Des tonnes de détails qui ne serviront jamais, ça ne sert même pas à créer une ambiance pesante, un premier chapitre fort et un calme plat ensuite, c'est mou ! J'en ai vraiment eu marre, je ne l'ai pas fini, j'ai juste sauté la moitié pour lire la fin et aucune surprise dans le dénouement. J'en ai enchaîné cinq comme ça, j'ai perdu patience et tout intérêt pour l'auteur, pourtant Sans laisser d'adresse m'avais vraiment plu, me poussant à acheter d'autres romans. Entre temps j'ai lu d'autres policier et tous les défauts m'ont sauté aux yeux.
Les personnages sont clichés, l'intrigue est la même à chaque fois, pour moi c'est du texte à trou. Si ce n'est pas un tueur à gages c'est des pédophiles, Myron Bolitar ex-agent du FBI ou Wendy Tynes présentatrice télé même chose, il n'y a que ces deux détails qui changent. Je me fou de savoir que Machin porte un t-shirt gris, que Bidule dort nu ou comment fonctionne une machine expresso.

Bref, c'est fini pour moi, je lui ai donné plus d'une chance et je retrouve ce qui m'agace à chaque fois.