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Critique de Analire
Le succès d'Harlan Coben n'est plus à faire puisque son nom est désormais connu dans le monde entier comme référent en termes de romans policiers. Il prend un personnage, Myron Bolitar, comme fil rouge de ses innombrables parutions. Ainsi, le lecteur peut s'attacher à Myron, le retrouver dans différentes situations selon les tomes et suivre avidement son évolution personnelle.
Dans Faux rebond, Myron, ancien joueur de basketball, mouille de nouveau le maillot pour résoudre une enquête liée à la disparition suspecte d'un joueur. Greg Downing, la star montante de l'équipe des Dragons, n'a pas donné signe de vie depuis plusieurs jours. Son entraîneur s'inquiète de perdre un talent sur lequel il a misé beaucoup. Alors que son enquête ne fait que commencer, Myron se retrouve rapidement face au meurtre d'une jeune femme inconnue, commis vraisemblablement dans le sous-sol du type qu'il recherche. Épaulé par son ami de toujours, Win, perspicace, agile et plein d'humour, les deux compères, aidés par Esperanza, une secrétaire pleine d'allant et d'audace, vont tâcher de mettre au clair cette affaire.
C'est bien connu, le milieu sportif est souvent gangrené de tricheries, sournoiseries et autres mensonges et manipulations habiles, pour parvenir à ses fins, briller et écraser son partenaire/adversaire. le NBA n'échappe pas à la règle, avec une équipe qui se montre très peu soudée, un état d'esprit à la limite de l'indécence et de la malveillance, que j'ai eu du mal à apprécier. Heureusement que le trio Myron/Win/Esperanza remonte le niveau sympathie du livre. Leur humour légendaire n'enlève rien à leur efficacité ; ils sont soudés, très attachés les uns aux autres et perspicaces lorsqu'il s'agit de résoudre des mystères.
Comme chaque polar d'Harlan Coben, l'histoire se lit, assurément, mais celle-ci manque cruellement de vraisemblance et d'organisation. Certaines scènes frisaient l'anarchie et l'incohérence. Je pense notamment au fait que Myron, blessé il y a dix ans au genou, qui a interdiction formelle de jouer au basket, se retrouve propulsé dans une équipe, l'une des plus brillantes du pays, pour jouer un match sans entraînement : invraisemblable. Quant à l'incohérence des scènes, elle se manifeste surtout dans le surplus de personnages et de pistes d'enquêtes, qui brouille la lisibilité du récit. On se perd facilement parmi le rôle de chacun.
Un Harlan Coben qui se lit facilement, mais qui est finalement assez décevant, avec des scènes invraisemblables et incohérentes. Ce coup-ci, c'est un faux rebond : l'auteur m'a habitué à mieux !
Lien : https://analire.wordpress.co..
Dans Faux rebond, Myron, ancien joueur de basketball, mouille de nouveau le maillot pour résoudre une enquête liée à la disparition suspecte d'un joueur. Greg Downing, la star montante de l'équipe des Dragons, n'a pas donné signe de vie depuis plusieurs jours. Son entraîneur s'inquiète de perdre un talent sur lequel il a misé beaucoup. Alors que son enquête ne fait que commencer, Myron se retrouve rapidement face au meurtre d'une jeune femme inconnue, commis vraisemblablement dans le sous-sol du type qu'il recherche. Épaulé par son ami de toujours, Win, perspicace, agile et plein d'humour, les deux compères, aidés par Esperanza, une secrétaire pleine d'allant et d'audace, vont tâcher de mettre au clair cette affaire.
C'est bien connu, le milieu sportif est souvent gangrené de tricheries, sournoiseries et autres mensonges et manipulations habiles, pour parvenir à ses fins, briller et écraser son partenaire/adversaire. le NBA n'échappe pas à la règle, avec une équipe qui se montre très peu soudée, un état d'esprit à la limite de l'indécence et de la malveillance, que j'ai eu du mal à apprécier. Heureusement que le trio Myron/Win/Esperanza remonte le niveau sympathie du livre. Leur humour légendaire n'enlève rien à leur efficacité ; ils sont soudés, très attachés les uns aux autres et perspicaces lorsqu'il s'agit de résoudre des mystères.
Comme chaque polar d'Harlan Coben, l'histoire se lit, assurément, mais celle-ci manque cruellement de vraisemblance et d'organisation. Certaines scènes frisaient l'anarchie et l'incohérence. Je pense notamment au fait que Myron, blessé il y a dix ans au genou, qui a interdiction formelle de jouer au basket, se retrouve propulsé dans une équipe, l'une des plus brillantes du pays, pour jouer un match sans entraînement : invraisemblable. Quant à l'incohérence des scènes, elle se manifeste surtout dans le surplus de personnages et de pistes d'enquêtes, qui brouille la lisibilité du récit. On se perd facilement parmi le rôle de chacun.
Un Harlan Coben qui se lit facilement, mais qui est finalement assez décevant, avec des scènes invraisemblables et incohérentes. Ce coup-ci, c'est un faux rebond : l'auteur m'a habitué à mieux !
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