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Critique de paroles


Waouh, un Coben qui se dévore en deux jours tant le suspense et les rebondissements vous tiennent scotché(e) à votre fauteuil ! Et ce jusqu'à la révélation finale. KO debout ! Euh non, dans mon cas, KO assise.

J'ai bien aimé ce polar. Un vrai polar, une vraie enquête. Pas de discours ici, pas de thèmes de société ou autres soulevés, pas de message subliminal. Non, du brut de brut, même si j'aime aussi les polars qui n'en sont pas seulement comme ceux d'Olivier Norek. Bref, un régal de suspense qui titille les neurones jusqu'au bout.
Des personnages très travaillés et crédibles. Et cerise sur le gâteau, de beaux personnages de femmes. Ben oui, il faut le préciser car dans les polars, ce n'est pas toujours le cas et souvent elles ont des rôles secondaires. Et bien pas là !

Maintenant pour vous attirer encore, voici le pitch :
Grace Lawson, artiste peintre et mère de deux enfants (Emma et Max), vit heureuse auprès de son mari Jack. Les parents ont, chacun à leur façon, une histoire familiale assez tourmentée et douloureuse, c'est pourquoi aucun des deux ne s'est jamais apesanti sur ce passé pour protéger l'autre. Mais (j'aime bien quand le mais arrive), quand Grace découvre une photo insolite dans un paquet qu'elle vient d'aller chercher, une photo ancienne de son mari, des questions arrivent. Des questions qu'elle aurait voulu poser à Jack, mais celui-ci a disparu…

« Le cliché avait un aspect vieillot - pas en noir et blanc ou bien sépia, à l'ancienne. Non, rien de tout cela. C'était un tirage couleur, mais les teintes semblaient… délavées, passées, sans cette exubérance à laquelle on était en droit de s'attendre de nos jours. Les gens qui figuraient dessus, pareil. Leurs vêtements, leurs coiffures, leur maquillage - tout datait. Ça devait remonter à une quinzaine d'années, peut-être à une vingtaine. »
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