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Critique de zaarma


De quoi ça parle ?
du social et de la relation à l'autre : de la difficulté d'être en relation sincère pure et non intéressée avec d'autres. de l'impossibilité d'être sans les autres
Où chaque moment et un extrait de théâtre. Où tout se joue, où tout est joué, où tout est faussé.
Le théâtre de nos vies. Ou chacun à l'impression d'avoir une partition de soliste à jouer. Chacun se cherche, s'estime vrai, franc, juste et entier. Mais personne ne l'est avec les autres ni avec lui-même.
La politique et l'amour sont aussi actrices du roman. Absurde et dévastatrice. Toute aussi fausse et vraie que les autres personnages.
Tout cela n'est rien qu'une autre manifestation du sociale. Nous avec les autres. Les autres. Et moi. Et uniquement moi. Et la comédie toujours présentes, toujours là. Jamais elle ne s'arrête. Car la comédie Dell'arte c'est nous, c'est la vie. Savons/Pourrions-nous vivre sans elle ? Savons / Pourrions-nous vivre sans les autres ?
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