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Citations sur Les frères MacCarrick, tome 2 : Si tu le désires (8)

À l’image d’un dangereux animal, Londres pouvait être admiré, mais sans perdre de vue les risques que l’on y prenait
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Le problème, avec la curiosité, était qu’elle menait à la fascination. De la fascination, on passait vite aux sentiments, puis à l’amour… avant de sombrer dans le malheur.
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Quoi de plus naturel qu’une femme comme elle puisse désirer un homme tel que lui ? Il était comte, grand, blond. Ensemble, ils formaient le couple le plus aristocratique et le plus anglais qui se puisse concevoir.
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S’embrasser n’était plus une primeur, pour eux. Ce qui l’était, c’était ce que ce baiser inspirait à Jane. Elle en tirait une sorte de vague satisfaction, comme quand on vous caresse la joue pour vous consoler… La nuit passée, le simple fait de sentir la main de MacCarrick serrer la sienne lui avait procuré davantage d’excitation…
Déçue, Jane tenta d’aller plus loin en s’accrochant aux épaules de Freddie, pour le provoquer autant que pour se convaincre qu’elle pouvait se contenter de cela durant le reste de son existence. Elle savait – ses lectures les moins avouables le lui avaient appris – qu’il devait exister dans un couple davantage que ce qu’il semblait prêt à lui offrir : de la passion, du désir, un brin de folie. Mais avec lui…
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Le sarcasme doit passer pour de l’esprit chez les jeunes d’aujourd’hui. Impossible de les suivre…
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Tout homme voulait se montrer sous son meilleur jour devant la femme qu’il désirait.
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Par quelle magie était-elle devenue plus belle encore ? Il avait espéré qu’en la retrouvant après tant d’années, elle aurait perdu le prime éclat de la jeunesse, que son éblouissante personnalité aurait commencé à s’estomper. Il n’en était rien. Il comprit alors qu’elle vieillirait sans se faner.
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Par le passé, l’opium avait suffi à étouffer la rage qu’il avait dans le cœur. Mais dernièrement, même la tyrannie douce de ses fumées ne suffisait plus. Sa soif de vengeance avait pris le dessus.
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