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Critique de LoupAlunettes
Avec le tome 2 de Wonderland, il y a du grabuge à Mégalopolis!
Encore une fois, un lieu qui inspira une attraction du Wonderland et qui aurait du faire rêver Jenn, Mervin et Orage.C'est la ville des Super-Héros? Enfin, c'est vite dit.
Et si dans l'intérêt général d'une ville, les habitants choisissait de voter une loi qui place automatiquement les héros à leur service.
Un bienfait, cette loi "Aquarius" qui va se voter?
Sauf que le Maire s'est vu, lui, débouté de ses responsabilités et que les héros ont pris le pouvoir. Un moindre mal, ce sont des gentils? Pas certain, comme le verront Mervin, Jenn et Orage.
Fabrice Colin jouera des apparences et du thème du libre-arbitre et les jeunes héros devront distinguer où est leur place.
Jenn signale au trio qu'ils ont leur propre agenda, des proches à sauver et un rapide retour dans le monde réel.
Mais quand il s'agit du Bien, peut-on se détourner du devoir?
Mais justement où se trouve le Bien à faire? Croisant la route du héros Archange pourchassé par le super vilain Raptorus, le trio ne pourra traverser Mégalopolis sans un peu d'aide. Les superhéros au pouvoir sont des vilains et les vilains pourchassés pour les contrer sont des héros.
Aïe!
Fabrice Colin puise dans les archétypes du genre emprunté et ne se gêne pas pour rendre hommage à l'actualité Comics très populaire, qui sur les sujets de l'enregistrement des héros au profit de l'État et la divulgation des identités civiles obligatoires ont offert différents Arc retentissants dans le monde lecteur super héroïque et ouvert un vrai débat.
Les thèmes de la liberté et du libre arbitre y étaient complexes et posaient des cas éthiques de la notion du vrai Bien devenu plus subjective.
Nous survolons ici le sujet, l'écho est un joli clin d'oeil et la suite des aventures du trio n'est pas perdue de vue, reste aussi sympathique et dynamique que le 1er tome.
Les visuels de Antoine Brivet restent inspirants et nous plongerons presque dans une aventure du très apprécié " Ben 10".
L'accessibilité est un point fort pour du bon contenu, pourquoi s'en priver.
Encore une fois, un lieu qui inspira une attraction du Wonderland et qui aurait du faire rêver Jenn, Mervin et Orage.C'est la ville des Super-Héros? Enfin, c'est vite dit.
Et si dans l'intérêt général d'une ville, les habitants choisissait de voter une loi qui place automatiquement les héros à leur service.
Un bienfait, cette loi "Aquarius" qui va se voter?
Sauf que le Maire s'est vu, lui, débouté de ses responsabilités et que les héros ont pris le pouvoir. Un moindre mal, ce sont des gentils? Pas certain, comme le verront Mervin, Jenn et Orage.
Fabrice Colin jouera des apparences et du thème du libre-arbitre et les jeunes héros devront distinguer où est leur place.
Jenn signale au trio qu'ils ont leur propre agenda, des proches à sauver et un rapide retour dans le monde réel.
Mais quand il s'agit du Bien, peut-on se détourner du devoir?
Mais justement où se trouve le Bien à faire? Croisant la route du héros Archange pourchassé par le super vilain Raptorus, le trio ne pourra traverser Mégalopolis sans un peu d'aide. Les superhéros au pouvoir sont des vilains et les vilains pourchassés pour les contrer sont des héros.
Aïe!
Fabrice Colin puise dans les archétypes du genre emprunté et ne se gêne pas pour rendre hommage à l'actualité Comics très populaire, qui sur les sujets de l'enregistrement des héros au profit de l'État et la divulgation des identités civiles obligatoires ont offert différents Arc retentissants dans le monde lecteur super héroïque et ouvert un vrai débat.
Les thèmes de la liberté et du libre arbitre y étaient complexes et posaient des cas éthiques de la notion du vrai Bien devenu plus subjective.
Nous survolons ici le sujet, l'écho est un joli clin d'oeil et la suite des aventures du trio n'est pas perdue de vue, reste aussi sympathique et dynamique que le 1er tome.
Les visuels de Antoine Brivet restent inspirants et nous plongerons presque dans une aventure du très apprécié " Ben 10".
L'accessibilité est un point fort pour du bon contenu, pourquoi s'en priver.
