Je ne vois pour l'instant rien d'autre dans ces romans qu'une pâle copie de
Battle Royale, à laquelle je peine à trouver le moindre intérêt.
Tout ce qui faisait le génie de l'oeuvre de
Koshun Takami a été consciencieusement mis de côté, pour ne garder qu'une coquille absolument et désespérément vide, qu'une pseudo-amourette adolescente, portée par une héroïne à la psychologie aussi complexe que celle d'une palourde et aussi émouvante qu'une huitre, ne suffit pas à remplir.
Voilà qui fait beaucoup trop de mollusques pour un roman portant dans son titre le mot "Hunger".
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