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Critique de Kozmic_Blues
Tout comme le roman d'Agnès Ledig, La toute petite reine, La part des anges n'est pas un roman vers lequel je me serais normalement tournée mais l'ayant également trouvé dans une boîte à livres, je me suis laissée tenter. C'est un livre que j'ai apprécié et que je recommande.
C'est l'histoire difficile d'une mère, Lisa, qui est confrontée à la pire épreuve possible, celle du deuil de son fils, Théo.
Enfermée dans sa douleur, elle en vient à délaisser son mari, Hugo, et sa fille, Emilie. Un nouveau départ pour cette famille va se faire en quittant Paris pour le Périgord, dans un petit hameau proche de Sarlat, en achetant une ancienne bâtisse appelée "la part des anges."
Un pont se fait entre le présent et le passé, plus précisément la Seconde Guerre Mondiale, et est une part importante du récit lorsque Lisa trouve un carnet rédigé par une certaine Alice ainsi que des cartes postales et des lettres que cette dernière échangeait avec son mari Gabriel, parti au front.
En liant les destins de Lisa et Alice, Bruno Combes ajoute une dimension très intéressante à son intrigue.
J'ai pu trouver que le roman souffrait de quelques répétitions malheureuses qui alourdissaient le récit. En dehors de cela, l'auteur a su faire appel à mon empathie envers ses personnages et j'ai pris plaisir à les voir évoluer, bien que la fin soit vraiment très, très prévisible ...
Je ne serais pas surprise que ce roman soit adapté en film tant il a, selon moi, un vrai potentiel cinégénique. Bruno Combes a un véritable don pour planter le décor et rendre son récit vivant.
C'est l'histoire difficile d'une mère, Lisa, qui est confrontée à la pire épreuve possible, celle du deuil de son fils, Théo.
Enfermée dans sa douleur, elle en vient à délaisser son mari, Hugo, et sa fille, Emilie. Un nouveau départ pour cette famille va se faire en quittant Paris pour le Périgord, dans un petit hameau proche de Sarlat, en achetant une ancienne bâtisse appelée "la part des anges."
Un pont se fait entre le présent et le passé, plus précisément la Seconde Guerre Mondiale, et est une part importante du récit lorsque Lisa trouve un carnet rédigé par une certaine Alice ainsi que des cartes postales et des lettres que cette dernière échangeait avec son mari Gabriel, parti au front.
En liant les destins de Lisa et Alice, Bruno Combes ajoute une dimension très intéressante à son intrigue.
J'ai pu trouver que le roman souffrait de quelques répétitions malheureuses qui alourdissaient le récit. En dehors de cela, l'auteur a su faire appel à mon empathie envers ses personnages et j'ai pris plaisir à les voir évoluer, bien que la fin soit vraiment très, très prévisible ...
Je ne serais pas surprise que ce roman soit adapté en film tant il a, selon moi, un vrai potentiel cinégénique. Bruno Combes a un véritable don pour planter le décor et rendre son récit vivant.
