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Critique de ecceom


La parole est à la défonce

Michael Connelly a du sentir qu'Harry Bosch commençait à ressentir un petit coup de mou. Pas de problème, voici un nouveau justicier : Mickey Haller, avocat cynique, désabusé accro et dans une mauvaise passe financière.

Si l'actualité récente a permis à certains de découvrir les aspects parfois assez incroyables de la justice américaine, les lecteurs de ce roman étaient déjà informés.

Les arrangements conclus entre la Défense et l'Accusation sont largement mis en relief ici, de même que l'influence des nominations électives, pour un résultat connu d'avance : le plus faible perd.

Mickey Haller va être en charge d'une affaire a priori trop grosse pour lui, mais qui va lui permettre de constater qu'il est encore capable d'un sursaut. Car Haller va découvrir qu'à Hollywood, les acteurs sont partout et qu'on l'a roulé dans la farine.
Je n'en dis pas plus. On aime bien Bosch, mais pendant ses congés, Haller peut le remplacer sans problème.

Bien joué Michael !
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