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Critique de ladesiderienne


C'est avec un réel plaisir que chaque année je retrouve Michael Connelly, même si parfois, comme avec "Les Ténèbres et la Nuit", ces retrouvailles ont été un peu amères. Belle surprise, avec son dernier opus "L'Étoile du désert", l'auteur fait à mes yeux un carton plein.

Bien sûr, nous sommes loin de l'intensité des premières intrigues de la série, Bosch a vieilli (moi aussi...). Il vient ici en aide bénévolement à Renée Ballard qui se retrouve à la tête du service des affaires non résolues. Parmi celles-ci, il y en a une à laquelle tient particulièrement notre ancien inspecteur.
Je reste fan de l'écriture de Michael Connelly. Sa plume est totalement addictive, elle décrit avec autant de talent les techniques d'investigation, les rapports entre police, justice et politique, que la psychologie et les rapports humains. On apprend beaucoup sur tout le système américain sans jamais se lasser. S'y ajoute la manière de l'auteur de faire de Los Angeles un personnage à part entière de l'intrigue.
Et puis, bon je l'avoue, je reste sous le charme de Bosch. J'aime sa tendance à flirter avec la ligne de la légalité et surtout sa grande humanité. Il n'a pas oublié sa devise "Tout le monde compte ou personne". L'image de fin est tout simplement bouleversante et déclenche la note coup de coeur 20/20. Je ne peux imaginer que l'étoile puisse s'éteindre un jour...
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