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Critique de Roggy
Michael Connelly est un virtuose qui construit tranquillement son histoire, surprend, détruit les pistes et aime tromper malicieusement son lecteur. Il est passé maître dans l'art des rebondissements.
Armé d'un Harry Bosch toujours aussi attachant et obstiné, il exploite à nouveau quelques-uns de ces thèmes fétiches : les démons qui rongent l'âme humaine et les rouages de la police et de la justice américaine.
C'est toujours l'enquête qui prime, même si cette fois l'accent est mis sur la personnalité d'Harry. Plus tourmenté que jamais, il cherche dans la résolution de cette vieille affaire une sorte de rédemption. Apporter aux familles des victimes un peu de consolation et leur permettre de reprendre le cours de leur vie, c'est faire un peu de bien au monde.
Un bon petit polar !
Armé d'un Harry Bosch toujours aussi attachant et obstiné, il exploite à nouveau quelques-uns de ces thèmes fétiches : les démons qui rongent l'âme humaine et les rouages de la police et de la justice américaine.
C'est toujours l'enquête qui prime, même si cette fois l'accent est mis sur la personnalité d'Harry. Plus tourmenté que jamais, il cherche dans la résolution de cette vieille affaire une sorte de rédemption. Apporter aux familles des victimes un peu de consolation et leur permettre de reprendre le cours de leur vie, c'est faire un peu de bien au monde.
Un bon petit polar !
