Qu'elle doit être longue cette avenue, car on sent
Michael Connelly à bout de souffle. Style bâclé,chapitres qui s'enchainent et s'oublient aussitôt,
Michael Connelly ne parvient pas à nous émouvoir même quand il raconte les tristes amours d'Harry Bosch et d'une subordonnée intrépide. de même l'annonce de la démission d'Harry Bosch tombe à plat.
Reste l'intrigue et, comme toujours avec cet auteur, on va quand même au bout du bouquin.
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