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3,81

sur 549 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Dans chaque nouvelle, l'auteur reprend une aventure invraisemblable mais réelle qui lui est arrivée. Il s'y présente comme un écrivain quelque peu obèse, pas très téméraire dès qu'il se retrouve face à des animaux sauvages dont ce koala qui tentera de l'émasculer. Son don pour se mettre dans des situations périlleuse est infini !
On passe un excellent moment en compagnie de la faune australienne et de figures de ce milieu : mineurs d'opales, montreurs de serpents, trafiquants d'or, ...
J'ai vraiment apprécié l'humour de ce recueil, l'autodérision de l'auteur, le coté burlesque. le style de la nouvelle est bien maitrisé et les chutes sont désopilantes !
Ce livre m'a été conseillé par le libraire à qui je demandais un auteur né en Océanie pour le challenge Globe-trotteurs. Très bon conseil : J'ai a-do-ré !

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J'adore l'humour de Kenneth Cook ! On apprend que les animaux sauvages d'Australie peuvent être dangereux, on s'en serait douté pour certains, mais pas pour le koala justement. L'auteur a compilé ici une quinzaine de nouvelles dans lesquelles il est aux prises avec des animaux, le point commun étant que c'est toujours l'animal qui gagne.
Toutes les histoires sont-t-elles authentiques ? On finit par ne plus s'en soucier, elles sont toutes drôles et c'est ce qui compte. A chaque récit on sait que ça va mal se passer, on ignore juste de quelle manière ça va dégénérer. Kenneth Cook raconte le tout avec autodérision, et c'est un plaisir de s'amuser à ses dépends.
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Je vous le dis tout-de-suite : j'ai adoré ce petit recueil de nouvelles ! Kenneth Cook nous entraîne au coeur du Bush australien dans des histoires où la faune australienne prédomine : koala, serpents, crocodiles, razorbacks, chercheurs d'opales... Mais ce n'est pas du tout un livre de géographie ennuyeux avec des tas de descriptions, non, non, non, c'est bel et bien de l'humour ! du vrai qui fait du bien ! L'auteur nous raconte à la première personne ce qui lui est arrivé et souvent cela défrise le bon sens et nos certitudes !
A lire absolument et sans modération, ce livre est indispensable en ces temps difficiles de pandémie et de terrorismes, à s'administrer en perfusion pour rigoler un bon coup !
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Je suis absolument fan de cet auteur dont j'ai lu les livres d'anecdotes sur le Bush australien. A lire, à relire, à lire à vos amis et à des enfants... C'est tordant, vibrant, émouvant. Je ris tout haut et je frémis souvent à la lecture de ces anecdotes incroyables, racontées avec un humour incroyable. Je suis absolument fan de la plume de Kenneth Cook. Un auteur Australien à découvrir absolument. Dépaysement et fous rires garantis !
Lien : https://joy369.unblog.fr/
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J'ai adoré et j'ai bien rigolé.
D'ordinaire, je ne suis pas fan des recueils de nouvelles qui me laissent souvent sur ma faim… Ici, le format anecdotique est judicieux.
J'avais l'impression non pas de lire, mais d'écouter les histoires que Kenneth Cook me contait, assise autour du feu à siroter une bière avec lui dans le Bush australien. Et que d'aventures ! de rebondissements ! D'anecdotes intéressantes sur la faune et la flore locale ! Car oui, en plus de passer un agréable moment et de s'évader, on s'instruit. L'auteur a toujours revendiqué pour vraies ses mésaventures, je ne sais pas si j'arrive à le croire tant les dites situations sont incongrues et saugrenues. Tout au long de ma lecture, j'avais envie de m'esclaffer : « Mais non, c'est pas possible, ça a pas pu se passer tout comme tu dis Ken !? ». (Oui, je m'autorise la familiarité, je me suis sentie proche de cet auteur qui se décrit lui-même sans prétention, et d'apprendre sa mort m'a attristée. Et notons cette ironie de mourir d'une crise cardiaque en campant dans le Bush). Mais c'est tout l'art du conteur que de savoir embellir, exagérer, et rendre invraisemblables des faits anodins. Ou bien Kenneth Cook avait tout simplement l'art de se trouver au bon moment au bon endroit ?
J'aurais seulement à déplorer l'ordre des nouvelles, qui parfois m'a un peu dérangée (l'allusion à une autre anecdote comme s'il s'agissait d'une nouvelle histoire à nous raconter plus tard, alors que nous venions de la lire…), et certaines répétitions (notamment dans la description du narrateur et son état d'esprit).
Hormis cela, ce petit ouvrage m'a donné envie de lire les deux recueils suivants, ayant comme vedettes le wombat et le kangourou, mais aussi de découvrir la plume de l'auteur, plus sombre, plus ironique, avec ses autres romans… Une belle découverte donc.
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Voici un livre qui n'aura séjourné que très brièvement dan mon wagon à lire!
Je l'ai trouvé en Emmaüs samedi-dernier 29 février: belle date pour une trouvaille de ce calibre... le client avec qui j'échangeait sur les bouquins que nous recherchions m'a dit: "lisez le koala tueur, c'est vraiment très bon".
Et, ce fut vraiment une très bonne lecture, vraiment.
Cette faune australienne, qu'elle soit humaine ou animale, m'a réjoui tant les situations vécues par le héros-écrivain semblent improbables! L'auteur se retrouve dans des rencontres à la limite du surréalisme!.. Et les sales bêtes ne sont pas forcément celles qu'on croit! Et Kenneth Cook de nous conter ces histoires du bush avec cet humour digne des Saki, Jérôme K.Jérôme, Woodehouse et autres délicats maîtres de l'humour britannique.
On s'y croirait, tellement cela sent le vécu.
Cet Outback australien mérite bien une visite... de loin! Et c'est là la magie et la force de ces nouvelles, avec des histoires similaires et différentes de pétrins dans lesquels s'est fourré Cook! L'écrivain avide d'expériences et de rencontres nouvelle, dont le regard se décile et pétille.
Et, aucune de ces quinze short stories ne m'ont parues inférieures l'une par rapport aux autres.... Et ce n'est pas fini, puisqu'il y a encore du rab avec deux autres recueils!
Ah mais, quelle découverte!
Je ne sais si le terme "jubilatoire", tant usé et utilisé me vient à l'esprit. Ce que je sais, c'est que ces histoires m'ont passionnées, transportées et donné envie de continuer la ligne... de Cook.
... Et comme j'envie déjà celui qui s'apprête à lire le Koala tueur et va attaquer la première page de Alcools et serpent (il paraîtrait, selon Blackie que les deux ne font pas bon ménage... Ceci pour mettre l'eau à la bouche littéraire du babéliote).
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Un régal ce recueil de nouvelles : hilarantes aventures avec les animaux du Bush australien .
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Si vous cherchez à vous attendrir sur des portraits d'animaux un peu mièvres, cherchez ailleurs. Mais, si vous voulez rire, parfois tout haut comme je l'ai fait moi-même, à la lectures d'anecdotes cocasses, ce livre "Le koala tueur et autres histoires du Bush", est pour vous.
Comment ne pas s'esclaffer devant le spectacle de ce pauvre anti-héros, placide et porté sur une vie confortable, aux prises avec des animaux australiens révélés sous leur plus mauvais jour. Ces aventures burlesques vécues, dit-il, personnellement par l'auteur sont encore plus amusantes lorsqu'on connait la réaction du spécialiste de ces bestiaux : imperturbable et peu secourable, il reste toujours froidement enclin à justifier la réaction de ses protégés.
Un très bon livre selon moi, et des situations remarquablement mises en scène par Kenneth Cook.
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Chronologiquement le premier des trois fameux recueils d'histoire du Bush de l'auteur australien Kenneth Cook (le koala, le wombat, et le kangourou).
À lire comme on mange un paquet de confiseries. Chaque nouvelle est comme un de ces bonbons qu'on prend plaisir à lentement sortir de son papier d'emballage avant de l'enfourner. Quelques dizaines de pages et le paquet est déjà vide. Toutefois comme les bonbons, je déconseille la lecture en continue de toutes ces excellentes nouvelles : elle finit par donner mal au coeur, voire des problèmes d'indigestion. Mieux vaut faire jouer la raison er répartir la lecture dans le temps, pour en profiter pleinement.
L'auteur nous introduit dans des mondes exotiques et inconnus avec beaucoup de brio, une dose très forte d'autodérision et un humour tout britannique, extrêmement caustique. Chacune de ses nouvelles est un petit trésor qu'il faut prendre le temps de déguster ; d'autant que malheureusement la source et désormais tarrie, puisque que Kenneth Cook est décédé en 1987, prématurément, d'une crise cardiaque.
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Comment ai-je pu oublier ce recueil de nouvelles dans ma liste de livres lus ? J'adore ! Je l'ai offert à mes parents depuis....
Donc c'est un recueil de courtes nouvelles qui se passent toutes dans le bush australien.
Le titre m'avait intriguée, ça a été le motif de mon emprunt à ma médiathèque préférée. Quel heureux choix ! J'adore ! Depuis j'ai lu tout ce qui a été traduit de Kenneth Cook, mais celui-là reste mon préféré (bon c'était aussi le premier).
Les nouvelles sont hilarantes, les situations cocasses. Qu'est-ce que j'aime ce livre que je réemprunte régulièrement.

Ps mention spéciale à Georges le chien qui a bcp fait rire mes filles à qui j'avais lu la nouvelle
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