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Critique de Apophis


A ce stade du cycle, c'est le roman le plus exigeant mais aussi un des plus intéressants

note réelle : 4 1/2 *.

Ce tome 7 a franchement tout pour surprendre, voire pour décevoir certains. Alors qu'on pouvait s'attendre à une course-poursuite haletante suite aux événements de la fin du tome 6 (je rappelle que dans la chronologie interne de l'univers, celui-ci est Rêves d'acier, pas La pointe d'argent), Glen Cook choisit de faire à la fois un flash-back et un flash-forward sans faire avancer significativement cette partie de l'intrigue (ce sera pour le tome 8). de plus, il choisit une narration très complexe, faisant varier les époques, les points de vue (Murgen / omniscient), voire le mode (il y a de l'adresse au lecteur, de la narration à la première personne, etc).

Cependant, de mon côté, j'ai énormément apprécié ce roman (même si ça a pris un peu plus de temps, en cours de lecture, que pour les autres livres du cycle, où le coup de foudre a en général été immédiat), du fait de l'immersion dans le siège de Dejagore, du rôle accru de certains personnages, qu'ils soient déjà connus (Murgen, qui se révèle très attachant, et Qu'un-oeil) ou pas (les Nyueng Bao sont passionnants), et d'une poignante romance que je n'attendais pas du tout chez Glen Cook. de plus, la gouaille qui est, pour moi, une des marques de fabrique et un des points passionnants du cycle, atteint ici des sommets, ce qui fait que ma lecture a été un plaisir de tous les instants.

Au final, un tome 7 surprenant, un peu plus exigeant que les autres en terme de narration, et qui, si on veut bien faire abstraction du fait qu'il ne règle pas l'énorme cliffhanger de la fin de Rêves d'acier, se révèle au moins aussi passionnant que chacun de ses prédécesseurs.

Retrouvez la version complète de cette critique sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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