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Critique de fnitter
En dents de scie.
Second tome d'une série mettant en scène un pilote du nom de Jake Grafton. Écrit en 1988, se passant dans ces eaux là. Grafton, ex-pilote de bombardier pendant le Vietnam est désormais Capitaine de Vaisseau en charge de quelques F14 Tomcat sur un porte-avion de la classe Nimitz. Les méchants sont les arabes dont l'objectif est de s'emparer des armes nucléaires des américains.
Le début du roman est passionnant. du pilotage d'avion et quelques considérations militaro-politiques accrochent le passionné que je suis. La prise du porte-avion et ses conséquences (les 80 dernières pages) est époustouflante, menée à un rythme d'enfer.
Hélas, trois fois hélas, les 250 pages de remplissage au milieu auraient, sans dénaturer l'oeuvre, put se résumer à 50. du coup, un énorme coup de mou, un ventre obèse et plein de vide au milieu.
Sans compter qu'il semble étonnamment facile de s'emparer d'un porte-avion. Robinson, lui dans Nimitz y était allé avec pas moins qu'un sous-marin à torpilles nucléaires. D'accord, c'était avant le 11 septembre 2001, mais s'emparer de tels engins sur l'arme la plus puissante du monde avec deux gogos armés d'un couteau (j'exagère un peu) me semble un peu cavalier.
Second tome d'une série mettant en scène un pilote du nom de Jake Grafton. Écrit en 1988, se passant dans ces eaux là. Grafton, ex-pilote de bombardier pendant le Vietnam est désormais Capitaine de Vaisseau en charge de quelques F14 Tomcat sur un porte-avion de la classe Nimitz. Les méchants sont les arabes dont l'objectif est de s'emparer des armes nucléaires des américains.
Le début du roman est passionnant. du pilotage d'avion et quelques considérations militaro-politiques accrochent le passionné que je suis. La prise du porte-avion et ses conséquences (les 80 dernières pages) est époustouflante, menée à un rythme d'enfer.
Hélas, trois fois hélas, les 250 pages de remplissage au milieu auraient, sans dénaturer l'oeuvre, put se résumer à 50. du coup, un énorme coup de mou, un ventre obèse et plein de vide au milieu.
Sans compter qu'il semble étonnamment facile de s'emparer d'un porte-avion. Robinson, lui dans Nimitz y était allé avec pas moins qu'un sous-marin à torpilles nucléaires. D'accord, c'était avant le 11 septembre 2001, mais s'emparer de tels engins sur l'arme la plus puissante du monde avec deux gogos armés d'un couteau (j'exagère un peu) me semble un peu cavalier.
