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Critique de Tchippy
« L'étrave est dans la passe ! L'étrave, puis le mât de misaine, le grand mât… Toute la coque se découpe maintenant sur la roche, à l'entrée du bassin. »
Oui, les marins rentrent du nouveau monde, avec les cales pleines de morues salées, ce trésor qui foisonne aux côtes de Terre-Neuve. Ils rentrent enfin au pays, pour retrouver femme et enfants.
Ils sont sales, ils ont les mains rugueuses, ils puent la mer et le poisson, mais ils ont vu ce que nul autre ne peut imaginer. C'est pourquoi Jason Lebesque les envie. Lui, petit-fils de marin, fils de médecin et d'une réfugiée Espagnole, veut poser les pieds sur un des bateaux armés par son oncle et partir, tout quitter, pour connaître le grand large.
Catherine, sa soeur, le comprend. Mais elle, La Chevrette, préfère les falaises et les rues du village aux horizons inconnus qui parfois prennent des marins qui ne reviennent plus... Et puis, comme elle le dit à Jason, « elle préfère les retours aux départs ».
Jusqu'au jour fatidique où, pour séduire une jouvencelle, Jason vole la bourse du seigneur du village, le sire de Mauriencourt. Ce larcin aura des conséquences imprévues qui pourraient bien briser les rêves de Jason comme réaliser ceux de sa soeur…
Brigitte Coppin nous gratifie ici d'un très bon livre, en totale immersion dans cette époque qu'est le début De La Renaissance, dans une famille atypique, éclatée, considérée comme bourgeoise par les villageois, car riche.
Les personnages sont vivants, attachants, ils ont leur propre caractère et leur propre histoire, leurs propres sentiments et leurs propres espoirs. le tout vu par des adolescents qui se re-découvrent, en même temps qu'ils découvrent les responsabilités et l'amour…
On se laisse embarquer dans le roman sans s'en trop rendre compte, et le retour à la réalité nous laisse avec le sourire sur les lèvres…
Mais attention : pour ceux qui veulent de l'action tout en étant attachés aux idées du roman, sachez que le deuxième tome réserve bien des surprises…
Bonne lecture !
Oui, les marins rentrent du nouveau monde, avec les cales pleines de morues salées, ce trésor qui foisonne aux côtes de Terre-Neuve. Ils rentrent enfin au pays, pour retrouver femme et enfants.
Ils sont sales, ils ont les mains rugueuses, ils puent la mer et le poisson, mais ils ont vu ce que nul autre ne peut imaginer. C'est pourquoi Jason Lebesque les envie. Lui, petit-fils de marin, fils de médecin et d'une réfugiée Espagnole, veut poser les pieds sur un des bateaux armés par son oncle et partir, tout quitter, pour connaître le grand large.
Catherine, sa soeur, le comprend. Mais elle, La Chevrette, préfère les falaises et les rues du village aux horizons inconnus qui parfois prennent des marins qui ne reviennent plus... Et puis, comme elle le dit à Jason, « elle préfère les retours aux départs ».
Jusqu'au jour fatidique où, pour séduire une jouvencelle, Jason vole la bourse du seigneur du village, le sire de Mauriencourt. Ce larcin aura des conséquences imprévues qui pourraient bien briser les rêves de Jason comme réaliser ceux de sa soeur…
Brigitte Coppin nous gratifie ici d'un très bon livre, en totale immersion dans cette époque qu'est le début De La Renaissance, dans une famille atypique, éclatée, considérée comme bourgeoise par les villageois, car riche.
Les personnages sont vivants, attachants, ils ont leur propre caractère et leur propre histoire, leurs propres sentiments et leurs propres espoirs. le tout vu par des adolescents qui se re-découvrent, en même temps qu'ils découvrent les responsabilités et l'amour…
On se laisse embarquer dans le roman sans s'en trop rendre compte, et le retour à la réalité nous laisse avec le sourire sur les lèvres…
Mais attention : pour ceux qui veulent de l'action tout en étant attachés aux idées du roman, sachez que le deuxième tome réserve bien des surprises…
Bonne lecture !
