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Critique de Meygisan
Sachant qu'il s'agit du dernier tome que comptera cette série, c'est avec un léger regret que j'en ai entamé la lecture. Car il faut bien reconnaître que celle ci avait un sacré potentiel, pas toujours exploité comme il aurait du l'être (spécialement pour cette troisième saison), avec un concept accrocheur, des personnages emblématiques et un contexte qui ne demandait qu'à être développé.
Le récit de ce dernier tome ne m'a pas emballé plus que ça, même si écrit par Sylvain Cordurié, auteur que j'apprécie particulièrement pour nombre d'autres production (pas seulement dans cette série), et même si présentant quelques éléments intéressants, certains apportant de la profondeur aux personnages que sont les Maîtres Inquisiteurs (il lance ainsi la question de leur légitimité sur la nature, doit on tout sacrifier ou détruire au nom de la justice?) et à l'univers développé en trois saisons, d'autres qui pourraient laisser une porte entre ouverte pour de futurs événements.
De mon point de vue, il était difficile pour l'auteur de clore une saison avec des personnages qui n'auront pas autant marqués les esprits que ceux de la première ou la seconde. Je me suis surpris à devoir regarder en arrière pour me remémorer tel ou tel personnage. C'est vrai pour les Maîtres Inquisiteurs (pourtant les vedettes de la série), et ça l'est encore pour les elfes qui les accompagnent comme leur ombre.
Je dirai qu'il était presque temps, au bout de trois saisons, de commencer à s'intéresser au sort de ces personnages secondaires, bien plus importants qu'il n'y paraît. Dommage...
J'aurais suivi cette série depuis le début, avec un enthousiasme certain.
Dans sa critique, Alfaric remercie les auteurs; je trouve qu'on ne le fait pas assez souvent. Donc à mon tour, merci à vous et merci également à Alfaric de nous rappeler indirectement que derrière toutes ces pages d'imagination collective, il y a des vrais gens qui bossent...
Le récit de ce dernier tome ne m'a pas emballé plus que ça, même si écrit par Sylvain Cordurié, auteur que j'apprécie particulièrement pour nombre d'autres production (pas seulement dans cette série), et même si présentant quelques éléments intéressants, certains apportant de la profondeur aux personnages que sont les Maîtres Inquisiteurs (il lance ainsi la question de leur légitimité sur la nature, doit on tout sacrifier ou détruire au nom de la justice?) et à l'univers développé en trois saisons, d'autres qui pourraient laisser une porte entre ouverte pour de futurs événements.
De mon point de vue, il était difficile pour l'auteur de clore une saison avec des personnages qui n'auront pas autant marqués les esprits que ceux de la première ou la seconde. Je me suis surpris à devoir regarder en arrière pour me remémorer tel ou tel personnage. C'est vrai pour les Maîtres Inquisiteurs (pourtant les vedettes de la série), et ça l'est encore pour les elfes qui les accompagnent comme leur ombre.
Je dirai qu'il était presque temps, au bout de trois saisons, de commencer à s'intéresser au sort de ces personnages secondaires, bien plus importants qu'il n'y paraît. Dommage...
J'aurais suivi cette série depuis le début, avec un enthousiasme certain.
Dans sa critique, Alfaric remercie les auteurs; je trouve qu'on ne le fait pas assez souvent. Donc à mon tour, merci à vous et merci également à Alfaric de nous rappeler indirectement que derrière toutes ces pages d'imagination collective, il y a des vrais gens qui bossent...
