Catherine Cusset ne cherche pas à se donner des circonstances atténuantes ; petite, elle volait déjà dans les blouses suspendues aux patères des couloirs de son école.
On peut ne pas aimer ses travers de radine que nous partageons cependant (pas tous heureusement!).
Son récit est sans humour, ressemblant à la description clinique d'une pathologie. Les idées sont un peu itératives. On s'interroge parfois sur l'intérêt de faire autant de pages sur ce sujet. Attention la chute est abrupte avant 11 pages laissées vierges pour y relater vos travers
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