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Critique de Escapagess
La dernière dystopie de Christina Dalcher. Et comme dans chacune d'entre elles, on suit une femme riche et haut placée dans la société (ici Miranda), accompagnée de son enfant (sa fille Emma). Pour une fois, j'aurais aimé avoir affaire à une femme lambda, un autre point de vue.
L'histoire met du temps à se mettre en place, et en même temps ce n'est pas juste de dire ça. On rentre directement dans le vif du sujet, à savoir que les États-Unis ont sombré dans le chaos après une crise économique sans précédent, entre pénuries fatales, pillages en règle et j'en passe. Il faut se battre pour survivre, les magasins sont vides. Miranda et Emma font du mieux qu'elles peuvent, devant fuir leur maison et leur voisinage.
La première moitié du livre les suit dans leur périple à pied pour trouver un refuge, avec son lot d'obstacles. Et la seconde moitié commence quand elles atteignent Femlandia, ce paradis autarcique réservé aux femmes, à l'abri de la violence des hommes. Et si derrière son apparence idyllique se cachait l'enfer ?
J'aurai aimé que le chemin soit moins long ou détaillé car ici, ce qui compte vraiment, c'est la destination. Et là tout s'accélère, va peut-être même trop vite. Ce prétendu paradis derrière les barbelés, dans lequel vit exclusivement des femmes. Des femmes seules, qui partagent tous leurs biens, une vraie communauté. Elles sont heureuses, bien nourries, en bonne santé. Mais derrière les apparences, que se cache-t-il ? Qu'en est-il des bébés mâles qui naissent entre ces murs ? Comment font-elles, d'ailleurs, pour tomber enceinte en l'absence d'hommes ? Toutes ces questions et bien plus encore vont trotter dans la tête de Miranda jusqu'à ce qu'elle trouve les réponses, de la façon la plus violente qu'il soit.
L'histoire met du temps à se mettre en place, et en même temps ce n'est pas juste de dire ça. On rentre directement dans le vif du sujet, à savoir que les États-Unis ont sombré dans le chaos après une crise économique sans précédent, entre pénuries fatales, pillages en règle et j'en passe. Il faut se battre pour survivre, les magasins sont vides. Miranda et Emma font du mieux qu'elles peuvent, devant fuir leur maison et leur voisinage.
La première moitié du livre les suit dans leur périple à pied pour trouver un refuge, avec son lot d'obstacles. Et la seconde moitié commence quand elles atteignent Femlandia, ce paradis autarcique réservé aux femmes, à l'abri de la violence des hommes. Et si derrière son apparence idyllique se cachait l'enfer ?
J'aurai aimé que le chemin soit moins long ou détaillé car ici, ce qui compte vraiment, c'est la destination. Et là tout s'accélère, va peut-être même trop vite. Ce prétendu paradis derrière les barbelés, dans lequel vit exclusivement des femmes. Des femmes seules, qui partagent tous leurs biens, une vraie communauté. Elles sont heureuses, bien nourries, en bonne santé. Mais derrière les apparences, que se cache-t-il ? Qu'en est-il des bébés mâles qui naissent entre ces murs ? Comment font-elles, d'ailleurs, pour tomber enceinte en l'absence d'hommes ? Toutes ces questions et bien plus encore vont trotter dans la tête de Miranda jusqu'à ce qu'elle trouve les réponses, de la façon la plus violente qu'il soit.
