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Critique de EntreDeuxPages
Sur le papier, ce roman avait tout pour me plaire...
Une dystopie, un sujet intéressant...
Et puis ayant adoré le précédent roman de l'autrice, j'ai foncé !
Malheureusement, c'est une lecture mitigée.
Je lui ai trouvé trop de longueurs (notamment dans la première partie de l'ouvrage pendant laquelle j'ai bien pensé abandonner ma lecture)
Et puis... Trop de clichés à mon goût... Beaucoup d'événements ou de personnages sont remplis de caricatures que j'ai trouvé un peu grossières et pas forcément appropriées.
On évoque des thématiques fortes puisqu'il est question d'une société de surconsommation, d'argent... Et aussi de féminisme poussé à son extrême. On peut d'ailleurs plutôt parler de misandrie avec cette aversion pour la gent masculine.
Des problématiques abordées qui sont donc ultra intéressantes, mais j'aurais aimé qu'elles soient plus approfondies... Et surtout, j'aurais apprécié davantage de nuances.
Peut être aussi que je n'ai pas autant accroché à ce roman parce que je ne me suis attachée à aucun personnage...
Ceci étant dit, comme le précédent roman de Christina Dalcher, c'est un ouvrage qui invite malgré tout à se questionner... C'est une histoire qui a des côtés malaisants et dérangeants et on ne peut s'empêcher de s'interroger. "Et si... Et si notre société actuelle basculait vers ça...?"
Un roman qui ne m'a malheureusement pas entièrement convaincue. Dommage.
En revanche j'ai toujours autant envie de découvrir Vox !
Une dystopie, un sujet intéressant...
Et puis ayant adoré le précédent roman de l'autrice, j'ai foncé !
Malheureusement, c'est une lecture mitigée.
Je lui ai trouvé trop de longueurs (notamment dans la première partie de l'ouvrage pendant laquelle j'ai bien pensé abandonner ma lecture)
Et puis... Trop de clichés à mon goût... Beaucoup d'événements ou de personnages sont remplis de caricatures que j'ai trouvé un peu grossières et pas forcément appropriées.
On évoque des thématiques fortes puisqu'il est question d'une société de surconsommation, d'argent... Et aussi de féminisme poussé à son extrême. On peut d'ailleurs plutôt parler de misandrie avec cette aversion pour la gent masculine.
Des problématiques abordées qui sont donc ultra intéressantes, mais j'aurais aimé qu'elles soient plus approfondies... Et surtout, j'aurais apprécié davantage de nuances.
Peut être aussi que je n'ai pas autant accroché à ce roman parce que je ne me suis attachée à aucun personnage...
Ceci étant dit, comme le précédent roman de Christina Dalcher, c'est un ouvrage qui invite malgré tout à se questionner... C'est une histoire qui a des côtés malaisants et dérangeants et on ne peut s'empêcher de s'interroger. "Et si... Et si notre société actuelle basculait vers ça...?"
Un roman qui ne m'a malheureusement pas entièrement convaincue. Dommage.
En revanche j'ai toujours autant envie de découvrir Vox !
