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Critique de Kio971
N'ayez pas peur de la vie est le quatrième livre de Patricia Darré. Dans celui-ci elle nous parle encore de la vie après la mort, à travers deux exemples très différents, celui d'un médecin qui, bien que décédé en 1937, continue à soigner les vivants d'aujourd'hui, et celui de Marcellus, un moine qui vivait à l'époque mérovingienne et qui, bien que passé de l'autre côté, a choisi de revenir pour continuer à prendre soin de l'église et du cimetière de son monastère... qui n'existent cependant plus aujourd'hui dans notre réalité !
Mais, le message le plus important que Patricia Darré nous transmet dans ce livre est, selon moi, l'impérieuse mise en garde qu'elle fait contre la tentation que nous pourrions avoir de rentrer absolument en contact avec les morts.
Au vu des nombreux témoignages qui nous sont parvenus sur l'Au-Delà (et depuis l'Au-Delà) ces dernières années, on pourrait croire que tout n'y est que pur bonheur, douceur et béatitude. Mais, nous prévient Patricia Darré, les défunts gardent après leur mort le caractère qu'ils avaient sur notre plan d'existence.
C'est un enseignement important, qu'il nous faut avoir en tête, notamment lorsque l'on cherche à entrer en contact avec un défunt : si un esprit se prétend être votre grand-père adoré, et qu'il se montre jovial et facétieux, alors que vous avez toujours connu votre grand-père pondéré et taiseux, il y a tentative de manipulation de la part de l'esprit qui s'est fait connaître.
Pareillement, cela implique que les morts ne deviennent pas angéliques une fois passés de l'autre côté : ceux qui étaient malveillants pendant leur vie terrestre le restent une fois décédés (tant qu'ils n'ont pas fait un travail pour s'améliorer). Il faut donc faire très attention à ne pas les inviter à réintégrer notre monde à travers des séances de tarot divinatoire, de pendule ou de planchette oui-ja.
Patricia Darré insiste lourdement sur ce point : il ne faut pas ouvrir des portes que l'on sera incapable de fermer ensuite. Cet avertissement est martelé tout le long du livre et en consiste la plus grande partie. Nul doute est ce que parce que cela est essentiel et que en cherchant à "jouer" avec l'Au-Delà, certains risquent gros pour eux-mêmes mais pour les autres également.
J'ai beaucoup apprécié ce livre de Patricia Darré : il nous prouve que la vie après la mort prend des formes très diverses, loin de l'image d'Epinal du défunt tranquillement installé pour l'éternité à la droite de Dieu.
Et il est une salutaire mise en garde sur la croyance qu'une fois mort, "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" : il faut faire attention à ne pas jouer avec les allumettes ésotériques, au risque non seulement de se brûler dangereusement, mais de déclencher des incendies ravageurs, impossibles à maîtriser et à contrôler ensuite.
Mais, le message le plus important que Patricia Darré nous transmet dans ce livre est, selon moi, l'impérieuse mise en garde qu'elle fait contre la tentation que nous pourrions avoir de rentrer absolument en contact avec les morts.
Au vu des nombreux témoignages qui nous sont parvenus sur l'Au-Delà (et depuis l'Au-Delà) ces dernières années, on pourrait croire que tout n'y est que pur bonheur, douceur et béatitude. Mais, nous prévient Patricia Darré, les défunts gardent après leur mort le caractère qu'ils avaient sur notre plan d'existence.
C'est un enseignement important, qu'il nous faut avoir en tête, notamment lorsque l'on cherche à entrer en contact avec un défunt : si un esprit se prétend être votre grand-père adoré, et qu'il se montre jovial et facétieux, alors que vous avez toujours connu votre grand-père pondéré et taiseux, il y a tentative de manipulation de la part de l'esprit qui s'est fait connaître.
Pareillement, cela implique que les morts ne deviennent pas angéliques une fois passés de l'autre côté : ceux qui étaient malveillants pendant leur vie terrestre le restent une fois décédés (tant qu'ils n'ont pas fait un travail pour s'améliorer). Il faut donc faire très attention à ne pas les inviter à réintégrer notre monde à travers des séances de tarot divinatoire, de pendule ou de planchette oui-ja.
Patricia Darré insiste lourdement sur ce point : il ne faut pas ouvrir des portes que l'on sera incapable de fermer ensuite. Cet avertissement est martelé tout le long du livre et en consiste la plus grande partie. Nul doute est ce que parce que cela est essentiel et que en cherchant à "jouer" avec l'Au-Delà, certains risquent gros pour eux-mêmes mais pour les autres également.
J'ai beaucoup apprécié ce livre de Patricia Darré : il nous prouve que la vie après la mort prend des formes très diverses, loin de l'image d'Epinal du défunt tranquillement installé pour l'éternité à la droite de Dieu.
Et il est une salutaire mise en garde sur la croyance qu'une fois mort, "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" : il faut faire attention à ne pas jouer avec les allumettes ésotériques, au risque non seulement de se brûler dangereusement, mais de déclencher des incendies ravageurs, impossibles à maîtriser et à contrôler ensuite.
