Je les imagine très bien tous les deux déambulant dans les rues de Paris, Martine photographiant l'inusité, la beauté et la poésie des objets pris dans l'instant et Philippe, concoctant déjà une jolie histoire pour chaque cliché. Mais cliché dans le sens littéral du terme car dans ce petit bijou de livre, foin de lieux communs, tout y est inattendu. La prose de
Philippe Delerm touche encore et son regard sur les choses et les gens a comme un grain d'éternelle première fois. À lire et relire et si jamais je retourne à Paris, il aura une place de choix dans mes bagages...
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