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Critique de Lesvoyagesdely
"Le Soleil de minuit" nous emmène autant dans une insolite proposition que dans une très connue avec l'équilibre entre la lumière et l'obscurité. Et même si sur le coup, nous pourrions croire que le soleil tout le temps serait une solution, il n'en est rien, le contraire n'ont plus n'irait pas, tout est une question d'équilibre.
C'est avec sa couverture qui attire notre oeil et nous donne envie de découvrir ce nouvel univers, que nous commençons à aller dans cette histoire, de divinités, alors qu'a priori on dirait des jeunes fille normales.
Le graphisme a quelque chose de particulier, il l'est encore plus dans certains passages, comme celui du début qui est bien énigmatique.
Ce one-shot nous est proposé par Albin Michel par l'italienne Francesca Dell'Omodarme qui nous laisse quelques mots à la fin.
"Le jour, si froid et calculateur. Et la nuit, si sauvage et impulsive." Ce jour qui rassure, mais si la lumière devient aveuglante et incessante, il n'en sera plus rien. Certains êtres de la forêt vivent le jour, d'autres la nuit. Nous allons faire la connaissance de Bel, gardienne du jour, et de Sam, gardienne de la nuit. le graphisme est alors à l'image de la couverture, il est plaisant et change. le jeu sur la lumière, le soleil ainsi que la nuit, l'obscurité rend très bien. Il y a également de jolis touches pour donner plus d'impact, un mot en majuscule, des bulles en noir etc.
Nous découvrons une Bel, consciencieuse et studieuse, et une Sam, toujours en retard, sur la défensive, elle est plus petite, elle a encore beaucoup à apprendre mais aimerait qu'on lui fasse plus confiance. A un moment donné, elles vont précipiter l'histoire du monde et bouleverser l'équilibre. C'est là que nous découvrirons l'humaine Niah, conduite par sa mère chez papi et mamie. Elle aussi ses masques, un évènement marquant dans son passé. Que lui est-il arrivé ? Et au monde ?
Après une rencontre fortuite, elle va finir par entrer dans cette histoire, alors qu'aucun humain ne devrait les voir.
L'histoire nous intéresse, nous donne envie d'en savoir plus, elle se laisse bien lire. C'est aussi un plaisir de rencontrer les différentes créatures de la forêt.
On y passe par un arc-en-ciel d'émotions. Cela reste jeunesse, mais pour petits et grands enfants.
C'est avec sa couverture qui attire notre oeil et nous donne envie de découvrir ce nouvel univers, que nous commençons à aller dans cette histoire, de divinités, alors qu'a priori on dirait des jeunes fille normales.
Le graphisme a quelque chose de particulier, il l'est encore plus dans certains passages, comme celui du début qui est bien énigmatique.
Ce one-shot nous est proposé par Albin Michel par l'italienne Francesca Dell'Omodarme qui nous laisse quelques mots à la fin.
"Le jour, si froid et calculateur. Et la nuit, si sauvage et impulsive." Ce jour qui rassure, mais si la lumière devient aveuglante et incessante, il n'en sera plus rien. Certains êtres de la forêt vivent le jour, d'autres la nuit. Nous allons faire la connaissance de Bel, gardienne du jour, et de Sam, gardienne de la nuit. le graphisme est alors à l'image de la couverture, il est plaisant et change. le jeu sur la lumière, le soleil ainsi que la nuit, l'obscurité rend très bien. Il y a également de jolis touches pour donner plus d'impact, un mot en majuscule, des bulles en noir etc.
Nous découvrons une Bel, consciencieuse et studieuse, et une Sam, toujours en retard, sur la défensive, elle est plus petite, elle a encore beaucoup à apprendre mais aimerait qu'on lui fasse plus confiance. A un moment donné, elles vont précipiter l'histoire du monde et bouleverser l'équilibre. C'est là que nous découvrirons l'humaine Niah, conduite par sa mère chez papi et mamie. Elle aussi ses masques, un évènement marquant dans son passé. Que lui est-il arrivé ? Et au monde ?
Après une rencontre fortuite, elle va finir par entrer dans cette histoire, alors qu'aucun humain ne devrait les voir.
L'histoire nous intéresse, nous donne envie d'en savoir plus, elle se laisse bien lire. C'est aussi un plaisir de rencontrer les différentes créatures de la forêt.
On y passe par un arc-en-ciel d'émotions. Cela reste jeunesse, mais pour petits et grands enfants.
