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Critique de Derfuchs


Londres 1820
Les Black Birds règnent sur les bas fonds. As de la cambriole en tout genre ils n'hésitent pas sur les moyens y compris jouer du couteau ou du revolver. Ils sont respectés dans le monde interlope.
James Orwood espèce d'angelot aux allures de dandy envisage de faire aussi bien que la concurrence du vice en plus réfléchi et mieux organisé. Il s'acoquine d'un castrat meurtrier, une prostitué aux manières de Dame et d'une reprise de justice à qui il évite le bannissement.
Ce premier tome sert, surtout, à la mise en place du quatuor, des premières affaires et à marcher sur les plates-bandes de la concurrence.
On ne peut pas dire que ce soit mal fait mais j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire. C'est du déjà vu et su, Londres étant un endroit magique pour ce genre d'histoire. Il manque un peu d'épaisseur, certes débuter une série n'est point facile que ce soit dans le scénario que dans le dessin, cependant c'est quand même indigent. Griffo et Desberg peuvent mieux faire! Peut-être dans le prochain.
Les personnages sont en devenir notamment du côté du crayon, ça viendra j'en suis sûr. L'ambiance due à la couleur est, en revanche, bien rendue.
A suivre...
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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