AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,97

sur 136 notes
5
6 avis
4
8 avis
3
3 avis
2
5 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Cette bédé se trouvait sur ma liste "anniversaire" et j'ai commencé la lecture de ma pile par celle-ci. Enfin j'allais savoir QUI était le père du Scorpion !

Commencée au tome 1, presque à sa sortie, j'ai toujours un gros faible pour le Scorpion, son univers, son ami le Hussard (toujours à nous sortir un bon mot), la gitane Mejaï et son chat noir, sans oublier les intrigues familiales, les coups bas, les trahisons, les bassesses, la "folie" du pape Trébaldi (qui ferait mieux de voir un psy pour ses problèmes avec son père), et la religion qui n'est pas toujours en odeur de sainteté.

Lorsque je compris QUI était son géniteur - bien avant qu'il ne soit nommé dans l'album - j'ai posé mon front sur la table et je me suis demandée si j'allais me taper la tête dessus ou attendre un peu...

Mais comment j'avais pu passer à côté, moi ?? Plus ça crève les yeux et moins on voit.

A ma décharge, je dirai que l'inconvénient des séries bédés, c'est que je les lis de manière décousue, au fur et à mesure de leur sortie. Là, si j'avais fait un peu plus attention, si j'avais mieux observé certains dessins (toujours très beaux), j'aurais vu !

Là, je suis en train de relire toute la série et je remarque certains détails dans le dessin que je n'avais point vu.

Bon, au moins, ça m'a laissé de la surprise. Oui, je sais, les excuses sont faites pour s'en servir.

Vivement la suite des aventures du Scorpion !
Lien : http://thecanniballecteur.wo..
Commenter  J’apprécie          220
Pour ce dixième album de BD véritable (exception faite du tome hors série), Enrico Marini fait ce qu'il sait si bien faire : éblouir un lecteur totalement impressionné par son coup de crayon. Il met un terme au dualisme des couleurs, sa palette s'enrichit, même si les teintes rappellent les ambiances particulières des derniers tomes.
Pour ce qui est du scénario, les choses sont plus compliquées. Les flashback sont les temps forts de l'histoire, Stephen Desberg utilisant les non-dits des tomes précédents pour apporter des nouveautés. Il va également être question de révélations. Enfin ! Et comme par le passé Armando est mené du bout du nez jusqu'au dernier instant. Aura-t-il mûri ? Oui, il est même devenu plus sombre, plus violent mais toujours aussi insouciant, du moins dans les dernières planches. le scénario est équilibré : de l'action, des révélations, des seconds couteaux et des ennemis malmenés.
Quelques passages laissent un curieux doute. Hussard rêve-t-il ou s'agit-il là d'une incohérence portée dès l'incipit ? le passage par Saint-Pierre est théâtral à souhait, long aussi, trop long. Quand au dénouement, est-il annonciateur d'un nouveau cycle ? Espérons que non, qu'un ou deux tomes de qualité apporteront une fin travaillée à cette saga qui le mérite.
Commenter  J’apprécie          160
visiblement, c'est une fin de cycle pour le scorpion, mais pas une fin d'histoire. La résolution du problème de la paternité du personnage nous est donnée, même si tout lecteur de la série a déjà compris depuis longtemps le ressort de cette intrigue.
Les fils qui se tissent entre les personnages s'épaississent encore un peu plus avec des mobiles aux actions enfin révélés.
Le dessin est toujours aussi beau et fluide, même si l'intrigue devient un peu plus sombre avec l'épisode de la garde personnelle de Trebaldi, on pense côtoyer la folie la plus pure, voire l'apocalypse.
La fin de cet épisode nous ,lance sur des alliances étranges qui permettront peut être d rebondir, encore faut-il que le scénariste trouve une intrigue foncièrement différent, au risque d e décevoir et d'être accusé de diluer.
Commenter  J’apprécie          60
Le Scoprion est toujours à la recherche de la vérité sur l'identité de son père. Dans le tumulte de la chute de l'impopulaire Pape de Rome, cette vérité sordide lui apparaît enfin.

J'ai trouvé l'album un peu confu au début mais finalement c'est, comme toujours, une excellente aventure poursuivie avec nos héros.
Commenter  J’apprécie          40
Le passé du scorpion reste une douleur profonde et l origine de sa naissance est un doute. Après de nombreux éléments nommant tel ou tel homme comme son père chacune de ses propositions restent impossibles. Il n est pas le fils d un premier pape et aux dire du second non plus. Les trebaldi de leurs côtés continuent leur querelle intestine pour le pouvoir.
Un tome haut en couleur avec une superbe mise en page, un travail formidable à l aquarelle et les décors. Marini est un réel artiste en ce domaine.
Commenter  J’apprécie          30
Le hussard est torturé. a noté que c'est la seule fois dans cette série que planche est entièrement remplie de verdure. Tiberio. Ursus. les moines lépreux. Mejaï est touchée. viol. le scorpion est le fils du père Trebaldi. pour finir, ansea aime le scorpion.
Commenter  J’apprécie          00
Voilà. Au bout de 10 volumes la vérité sur le père du scorpion est enfin révélée. Encore une bonne histoire mais je l'ai trouvée moins prenante que les 3 épisodes précédents.
Commenter  J’apprécie          00
Les révélations sont totales dans ce tome, on découvre enfin la vérité sur le père du Scorpion.
A la fin du tome nous avons de nouveaux éléments qui vont continuer à rendre l'histoire passionnantes, mais qui nous font aussi rager au sujet de Mejaï.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (364) Voir plus



Quiz Voir plus

6 questions pour voir si vous avez lu le Scorpion, tome 6:Le trésor du temple, moyen

comment s'appelle l'égyptienne, amoureuse de scorpion?

Réjaï
Méjaï
Thaï

6 questions
4 lecteurs ont répondu
Thème : Le Scorpion, tome 6 : Le Trésor du Temple de Stephen DesbergCréer un quiz sur ce livre

{* *}