Ce récit se déroule à la Manufacture d'Armes de Saint-Étienne, avant sa fermeture, où les ouvriers avaient pour habitude de faire de la"perruque" c'est à dire de fabriquer des petites choses pour leur compte personnel à partir des chutes de l'atelier. Les dessins sont beaux mais je trouve l'ensemble très sombre. Je suppose que la technique de gravure utilisée (monotype sur zinc) l'explique. L'histoire est assez sobre, c'est un livre plutôt taiseux. Il n'y a pas beaucoup de texte, pas mal de choses sont dites uniquement par le dessin. Un ouvrage à ajouter à la mémoire du patrimoine industriel stéphanois.
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