Je me demande s'il vaut la peine de suivre Corto Maltese sans
Hugo Pratt, mais j'ai le même sentiment avec la saga Blake et Mortimer.
Hergé avait peut-être raison. Autant obliger scénaristes et dessinateurs à créer quelque chose de nouveau.
L'album est plutôt réussi graphiquement, malgré un abus de mouettes ! Je n'ai pas compté dans combien de cases on les retrouve… Mais les dialogues sont moins savoureux, Corto a perdu de son mordant, de son ironie. Il est trop statique également : pas le moindre uppercut distribué, ou alors je les ai oubliés.
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