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Critique de beugzbee


Ca part fort, très fort. Cette personne laissée pour morte qui sors de sa tombe. Qui? Pourquoi? Y'a pas à dire ça nous accroche.

Puis on passe à d'autres point de vue: le flic qui enquête sur des morts violentes de médecins, l'étudiante violée, la mère de famille. Au début, on voit difficilement le lien. Ça viendra.

Le personnage du commissaire est pour moi le plus abouti, et le plus original. le flic qui définit un restau étoilé comme sa cantine, qui ne lis l'heure que sur des rolex, avant d'aller à l'opéra, histoire de changer un peu des cadavres torturés.
Les autres... eh bien que dire sans spoiler?...

Je ne peux pas nier que j'ai été intriguée un partie du livre, mais dès que j'ai fait le lien, plus aucune surprise. Mais comme d'habitude, je voulais savoir la fin et celle-ci réserve une petite surprise. Donc c'est plutôt réussi. Avec un je ne sais quoi qui me laisse sur ma faim. Il y a quelques facilités.

En plus, j'ai quelques problèmes de l'ordre de la "recherche d'arrière plan". Par exemple, on nous parle DU commissariat de Brisbane , d'un professeur DU collège de Brisbane. Pour y avoir vécu, il y a bien 5 ou 6 universités de chacune 3 campus, des collèges publics dans chaque quartier et presque autant de privés, des flics partout, et donc moult commissariats. L'Australie, ce n'est pas que le bush. Mais c'est sûr que le bush ça sert bien le propos.

Oh, et, quelqu'un peut m'expliquer pourquoi "Ne le dis pas à Papa"? de même, la mention en quatrième "l'instinct maternel est une chose puissante, surtout quand on le retourne contre ses enfants" me faisait attendre une toute autre histoire.
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